[TRANSCRIPTION] “Impact Positif” – LCI donne de la voix aux solutions – Avec Sylvia Amicone

07/08/2023

17:09

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Les solutions existent et la journaliste Sylvia Amicone les met en lumière avec le podcast “Impact Positif”. Un programme audio aux invités inspirants proposé par LCI, depuis 2018. L’émission consacrée aux acteurs du changement écologique et aux innovateurs sociaux a désormais sa déclinaison TV.
Impact Positif s’est aussi installé comme un rendez-vous avec les téléspectateurs de la chaîne d’information qui propose une interview hebdo chaque samedi sur le canal 26 de la TNT en France ou en replay sur le site tf1info.fr.

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“Des projets à fort impact social et environnemental”

: Sylvia Amicone présente le podcast et l’émission TV de LCI « Impact Positif » – Photo DR

: « Impact Positif » est l’émission qui donnent la parole aux acteurs du changement. (LCI en podcast et en TV)

Transcription (automatisée)

Article source : “Impact Positif” – LCI donne de la voix aux solutions

Bienvenue dans Soluble(s) pour un nouvel épisode spécial Découverte.

Vous le savez, ici on pense que les médias peuvent faire partie de la solution.

Et aujourd’hui, je veux parler d’une émission qui amplifie la voix des gens qui ont une influence positive sur la société.

– Bonjour Sylvia Amicone.

– Bonjour.

Tu es l’une des voix et l’un des visages de LCI, la chaîne d’information française du groupe TF1.

On va parler ensemble d’Impact Positif, ton podcast qui s’est décliné en émission de télévision.

Un rendez-vous qui s’est installé dans le paysage médiatique constructif.

On va voir comment il est possible de médiatiser des idées et des gens qui changent le monde à une heure de grande écoute et sur des médias grand public.

Je te demanderai d’apporter ton témoignage sur l’évolution du traitement des sujets climat et environnement depuis que tu as commencé comme journaliste.

On va parler aussi de l’intérêt du public pour les solutions.

Mais d’abord, comme vous le savez ici, j’adore commencer ce podcast par en savoir plus sur le parcours de mes invités.

Tu travailles à LCI depuis 2011.

Comment tu es devenue journaliste?

Est-ce qu’on peut dire que tu es une journaliste optimiste?

Je ne sais pas si je suis une journaliste optimiste.

Je n’aime pas trop quand on essaie de qualifier journaliste engagée, journaliste optimiste, etc.

Enfin, moi, j’ai toujours dit que je faisais mon travail.

Je faisais mon travail en tant que journaliste.

Et c’est vrai que quand j’ai commencé à couvrir toutes ces thématiques d’innovation sociale et environnementale, c’est parce que je les voyais sur le terrain.

C’est parce que, en fait, quand on partait faire des reportages, qu’on essayait de trouver des idées pour les journaux, etc., c’est vrai que j’avais découvert ces entrepreneurs qui étaient hyper dynamiques, qui avaient vraiment envie de faire bouger les lignes, qui avaient des solutions à proposer, des solutions en plus qui marchaient avec un business model.

Et donc, je suis rentrée dedans par hasard en faisant un sujet sur Babyloan, qui à l’époque était un site de microcrédit.

Et je faisais un sujet sur la personne qui avait cofondé Babyloan et qui était une femme.

Et voilà.

Et donc, du coup, je suis rentrée dedans vraiment par ce sujet-là.

Et c’est vrai que moi, ça me tenait à cœur de montrer.

C’est vrai qu’on a tendance à dire que les Français sont plutôt pessimistes, qui voient toujours plutôt le verre à moitié vide.

Moi, ce que j’ai toujours voulu montrer depuis que j’ai commencé à couvrir ça, c’est que ce n’est pas vrai et qu’il y a que des choses qui se passent mal et qu’il y a plein de gens qui se retroussent les manches, etc.

C’est ça que moi, j’ai voulu porter sur le site.

Alors, ça s’est amplifié en plus avec les années, avec l’urgence climatique, avec tous les enjeux qu’on a tous compris très, très rapidement.

Et donc, voilà.

Oui, c’est très clair et très informatif.

D’ailleurs, je me replongeais dans tes premiers invités, en tout cas pour l’émission Impact Positif, même si tu es arrivée à LCI avant, tu avais déjà des chroniques.

Mais parlons d’Impact Positif pour voir un peu le chemin parcouru par ton émission, dans le sens où elle reflète l’évolution de la société.

Au moment où l’on se parle, il y a déjà 81 solutions qui sont mises en ondes.

Je suis remonté jusqu’à l’épisode numéro 2.

Sa date de juillet 2018 et tu recevais le fondateur d’une nouvelle marque qui, on le sait aujourd’hui, s’imposera alors dans les rayons de briques de lait.

Est-ce que tu te souviens de cet invité?

Mais surtout du côté avant-gardiste qui, en 2018, pouvait constituer cet invité.

C’est la marque C’est Qui Le Patron ?, qui est des leaders dans les briques de lait.

C’est vraiment quelqu’un d’incroyable, qui représente vraiment tout ce que j’admire chez les entrepreneurs, c’est-à-dire vraiment la volonté, la détermination de changer les choses, de s’effacer derrière les producteurs, derrière son idée, d’être dans le collectif.

Et puis, voilà, il porte son idée littéralement dans les médias, il le défend.

Voilà, c’est quelqu’un que je continue de suivre, parce qu’en fait, il a fait partie d’un des premiers invités aussi pour l’émission tv hebdo.

Et donc, en général, ce que je fais, c’est que j’aime bien suivre ces entrepreneurs dans la durée.

Et il y en a certains que je suis depuis le début.

Par exemple, je ne sais pas si vous connaissez Matthieu Dardaillon, qui a créé Ticket for Change, qui est un entrepreneur aussi vraiment admirable.

Alors aujourd’hui, il s’est retiré de Ticket for Change pour d’autres aventures.

Mais par exemple, Matthieu Dardaillon, je l’avais interviewé sur LCI avant qu’il ne crée Ticket for Change.

Et aujourd’hui, il est encore là.

C’est un entrepreneur incroyable.

Pareil pour Christian Vanizette de MakeSense, qui est vraiment quelqu’un aussi qui compte dans ce paysage.

Donc voilà, Nicolas Chabanne, effectivement, c’est quelqu’un que j’avais repéré à l’époque parce que c’était assez novateur.

Mais il avait déjà beaucoup de succès en 2018.

C’est vrai qu’ils ont du succès maintenant.

C’est incroyable ce qu’ils ont fait pendant toutes ces années.

Mais déjà, en 2018, la brique de lait, elle faisait déjà une percée assez incroyable parmi les produits.

Donc en soi, voilà, il était avant-gardiste, mais il y avait déjà quelque chose qui tenait sur la table.

Parce qu’en fait, moi, ce que je fais, c’est que je n’invite pas..

J’invite souvent des gens qui ont déjà quelque chose de solide, de solide, dont ils peuvent me parler pour qu’on puisse justement décortiquer l’impact, savoir comment ils ont fait pour arriver jusque là et pouvoir inspirer d’autres.

Je prenais cette invitée que beaucoup de gens peuvent désormais connaître ou avoir en tête pour son action.

Mais du coup, c’était pour…

Et tu commences à le faire pour te poser la question de savoir qu’est-ce qui était un bon thème, qu’est-ce qui était un bon invité qui répondait à ta définition pour l’émission de l’impact positif.

Il faut déjà avoir accompli le changement.

Je regarde plusieurs choses, effectivement.

Est-ce que la solution a vraiment un impact?

Est-ce que c’est durable?

Est-ce que c’est duplicable?

Et surtout, j’invite le porteur de projet.

Ce qui m’intéresse, c’est vraiment avoir la personne qui a eu l’idée, la personne qui l’a montée elle-même, la personne qui la porte.

Parce que c’est vraiment toute la différence.

Franchement, quand je me retrouve face à ces personnes-là, ce sont des personnes qui vous boostent.

À chaque fois, je ressors de ces interviews complètement émerveillées, dynamisées par leur énergie, par tout ce qu’ils ont fait, toutes les difficultés aussi qu’ils ont traversées.

Ce qui m’intéresse aussi, c’est pas uniquement de…

Voilà, c’est aussi ici de montrer l’envers du décor.

C’est-à-dire que c’est pas facile pour ces gens-là.

Ce sont des gens qui ont dû se battre, qui ont été déterminés, qui ont vécu des échecs, qui ont rebondi.

Voilà, c’est tout ça aussi que j’essaie de mettre en avant dans le podcast.

Ce sont des histoires humaines et des humains qui transforment la société.

On remarque ces dernières années que de jeunes voix engagées émergent et se font aussi entendre sur, on le disait, le thème du changement climatique.

Je pense à des personnalités comme l’économiste Timothée Parrique ou l’activiste Camille Etienne, qui ont aussi été des invités de ton émission.

Est-ce que toi, tu observes parmi les acteurs du changement, justement, un engagement plus grand des personnalités et notamment des plus jeunes?

Alors, c’est vrai que la question climatique, au départ, j’ai vraiment commencé sur l’innovation sociale.

Et j’ai beaucoup invité des entrepreneurs sociaux.

Alors, c’est vrai que la question climatique, elle s’est vraiment imposée au fil des années.

Et j’ai voulu aussi, évidemment, parce qu’en fait, tout est lié.

Ces entrepreneurs sociaux, ils sont aussi très engagés au niveau environnemental.

Tout est complètement lié.

Ces entrepreneurs-là sont très engagés aussi pour la planète.

Donc, on va essayer d’y répondre à tous ces enjeux.

C’est vrai qu’il y a des militants qui sont apparus.

Alors, c’est vrai que ce sont des militants aussi.

J’ai fait venir des militants.

Pourquoi?

Parce que l’urgence, elle est là.

Et parce que ce sont des personnes qui ont compris qu’elles devaient agir ici et maintenant, qu’on n’avait plus beaucoup de temps devant nous.

Et ce sont des personnes solides qui connaissent l’ordre dossier, qui représentent quelque chose, par exemple Camille Etienne.

Timothée Parrique, c’est autre chose, lui, c’est un économiste.

Et c’est vrai que c’est quelqu’un qui avait écrit une thèse sur la décroissance à l’époque du Covid.

Et à l’époque du Covid, on s’intéressait beaucoup à tout ce qui est décroissance et on s’intéressait beaucoup à la façon dont on pouvait ralentir.

C’était un peu le début de quelque chose pour lui.

Et donc, du coup, il a transformé sa thèse en un livre qui a été publié l’année dernière.

Et c’est pour ça que j’ai l’invité.

Mais quand j’ai l’invité, encore une fois, c’était déjà quelqu’un dont on entendait beaucoup parler sur les réseaux sociaux, dans les conférences.

Alors après, ça a été encore plus fort pour lui.

C’est vrai que ce sont des thématiques qui se sont imposées à la fois en invitant des experts, comme lui, parce que c’est un des rares experts sur la décoration.

C’est vrai que ce mot, il peut faire peur.

Et donc, c’est important aussi d’inviter ces experts-là pour dépassionner le débat, pour qu’on puisse aussi mieux comprendre.

Et puis aussi, à la fois, des personnes un peu plus militantes qui expliquent ce qu’elles font sur le terrain et qui expliquent, voilà, comme quels sont leurs modes d’action.

Parce que c’est important aussi.

Il y a aussi beaucoup de choses qui se passent.

Il y a aussi des gens qui peuvent avoir peur d’une certaine radicalité, etc.

Donc, c’est important aussi de pouvoir leur donner la parole et de comprendre pourquoi ils agissent.

Les médias, les chaînes d’information, hélas, n’ont toujours pas bonne presse dans l’opinion publique.

Hélas, on vous reproche parfois aux journalistes d’être trop anxiogènes ou de ne parler que des trains qui n’arrivent pas à l’heure.

Est-ce qu’Impact Positif, c’est une forme de réponse à cela?

Une autre façon de pratiquer le journalisme.

On parle beaucoup de journalisme de solutions.

C’est un journalisme qui a le vent en boucle, mais qui est très sérieux, qui est un journalisme d’investigation.

Moi, c’est vrai que quand j’ai commencé, ça n’existait pas, le journalisme de solutions.

Moi, comme je te le disais vraiment quand j’ai commencé, c’était vraiment pour montrer ce qui se passait sur le terrain et aussi pour parler d’innovation sociale.

Parce qu’à l’époque, peu de personnes parlaient d’innovation sociale.

Sauf peut-être, bon, il y a eu effectivement, sous François Hollande, Benoît Hamon, qui a beaucoup parlé d’innovation sociale.

Mais c’est vrai que c’était assez novateur.

On n’en parlait pas avant.

Donc moi, c’était vraiment pour porter ce sujet-là et pour dire que voilà, il y avait beaucoup, beaucoup de choses qui se passaient sur le terrain, et aussi pour les rendre publiques, ces solutions, et pour les faire circuler.

Parce qu’évidemment, ce sont des gens qui avaient aussi besoin qu’on parle de leurs solutions, qu’on parle d’eux.

Et c’est ce que j’ai fait avec tous acteurs du changement.

C’était avant Impact Positif, cette chronique que j’avais dans la matinée week-end sur LCI, que j’ai gardée de 2013 à 2018, donc pendant quand même, pendant cinq ans.

Avant-gardiste, donc, la nouvelle économie, les nouveaux modes de vie, mais aussi des entrepreneurs engagés qui sont dans l’économie classique tout court.

Parlons de comment Impact Positif s’articule avec le reste de l’antenne et des contenus des rédactions de TF1 et LCI.

Donc, je le disais, tu as commencé avec un format audio pour Impact Positif.

Puis, ça s’est installé comme un rendez-vous hebdomadaire à la télé.

Oui, depuis cette saison, en fait, depuis septembre, c’était une demande de la direction de Fabien Namias, de Bastien Morassi, qui est le directeur de la réaction et qui m’ont demandé de décliner le podcast à l’antenne, de pouvoir être présents sur ces thématiques parce qu’aussi le groupe souhaitait s’engager plus avant sur toutes ces thématiques-là.

Et c’est vrai que j’étais la personne idéale puisque je le faisais déjà depuis un certain temps.

Et voilà, et puis c’est vrai, moi, j’étais souvent venue les voir pour le faire.

C’est pas la première fois, effectivement, que je leur demandais qu’une émission soit à l’antenne, bien que j’avais pu le faire déjà à l’antenne de LCI, en matinale, quand j’animais la matinale week-end sur LCI et j’avais une petite place pour Impact.

À l’époque, c’était tous acteurs du changement.

Et donc, on m’a quand même fait confiance sur LCI très rapidement avec ce programme-là.

C’est vrai qu’au départ, on ne savait pas trop de quoi je parlais.

Quand je parlais d’innovation sociale, on m’a dit, bon, écoute, on fait confiance, mais on ne sait pas trop de quoi tu parles.

Et puis, on m’avait dit, bon, voilà, on regarde.

Et puis, si ça nous plaît pas, on enlèvera.

Mais voilà, on te donne carte blanche.

Donc, j’ai commencé comme ça parce qu’ils m’ont fait confiance.

Et puis, ça s’est maintenu quand même pendant cinq ans.

Puis après, comme j’ai quitté la matinale et qu’on commençait à entendre de plus en plus parler de podcasts, et c’était un format qui m’intéressait énormément, je lui ai proposé le podcast et ça correspondait à une volonté du groupe de développer le podcast au sein du groupe TF1.

Donc, on a enchaîné avec le podcast, ce qui, moi, me permettait en plus d’avoir plus de temps.

Parce que, vous savez, sur les chaînes Info, on n’a pas toujours le temps qu’on voudrait.

Et c’est vrai que le podcast, moi, me donnait, il n’y avait pas de limite en termes de temps.

C’était moi qui choisissais en fonction de mon invité, en fonction de l’histoire qu’on avait racontée.

Donc, c’était parfait.

Puis voilà, je pense que, comme tout le monde le sait, il y a certaines urgences qui se sont imposées dans l’actualité.

Et le groupe m’a logiquement demandé de le faire pour LCI.

Alors, c’est vrai qu’on sait, ce sont des sujets qu’on traite aussi dans la matinale.

Voilà, dans tous les matinales, que ce soit au week-end, que ce soit en semaine, qui sont des grandes tranches généralistes.

Et puis, après, effectivement, il y a un impact positif le samedi après-midi sur LCI.

L’innovation sociale et l’écologie à travers les solutions.

Les téléspectateurs ont aussi peut-être en tête une identification visuelle avec les mots-clés Notre Planète.

Ça se décline aussi sur Internet où vos rédactions réunissent.

Il y a un peu de fin sous cette bannière-là, les sujets.

Effectivement, ce qu’on ne sait pas ce que la direction s’est dit, c’est qu’en fait, que ce soit TF1 ou LCI, on traitait beaucoup ces sujets-là, mais ça passait un peu inaperçu.

Donc, c’est vrai qu’on avait toujours des critiques, des critiques, on ne vous en prête pas assez, etc.

Mais c’est vrai que j’ai vu cette évolution, j’ai vu ce changement et moi, j’ai jamais été d’accord avec ça.

Je n’ai jamais été d’accord quand on me disait.

Il se passait plein de choses, il y a plein de sujets qui étaient couverts.

Ça répondait à l’idée d’identifier tout ce qu’on faisait par rapport à tous ces enjeux sociétaux et environnementaux.

Voilà pourquoi le label Notre Planète est né, qui est utilisé dans les JT de TF1, mais également pour Impact Positif sur LCI.

Évoquons d’un mot la suite, donc la saison 2023-2024, toujours à l’antenne télé et toujours dans toutes les applis de podcast pour Impact Positif.

On va continuer ce format qui, voilà, je suis très attachée au podcast.

Je trouve que c’est vraiment un super média, comme je le disais, qui permet d’évoquer certaines intimités aussi avec l’auditeur, qui permet une discussion très ample.

On peut vraiment aller au cœur du sujet avec mon invité.

Et en complément, cette émission sur LCI qui permet toutes les semaines finalement d’avoir quelqu’un.

Alors que le podcast, j’en fais un peu moins, comme vous l’avez remarqué.

J’en fais moins, mais je choisis, je choisis peut-être une petite sélection sur les invités.

Et en revanche, sur LCI, toutes les semaines, il y a quelqu’un à l’antenne.

Sylvia Amicone à retrouver sur l’antenne télé d’LCI, et puis dans les applications de podcasts, je mets les liens en description de cet épisode.

Mais c’est facile, vous tapez Impact Positif et vous trouvez facilement de toute façon.

Merci Sylvia d’être passée dans Soluble(s).

Merci à toi, à Simon et je vais écouter l’épisode.

Voilà, c’est la fin de cet épisode.

Si vous l’avez aimé, notez-le, partagez-le et parlez-en autour de vous.

Vous pouvez aussi nous retrouver sur notre site internet www.csoluble.media.