[TRANSCRIPTION] AirZen, la radio nationale qui diffuse 100 % de bonnes ondes
Cette radio détonne dans le paysage audiovisuel français. Avec ses 300 podcasts hebdomadaires et son flux radio diffusé en DAB+ (la radio numérique terrestre), AirZen Radio propose une programmation qui se veut intégralement positive.
L’antenne pratique le journalisme de solutions.
Bien-être, style de vie, planète, culture, personnalités inspirantes
On ne se branche pas sur AirZen pour y découvrir la dernière catastrophe ou écouter des talks avec des experts qui débattent des dernières nouvelles. Cette radio fondée en 2021 entend informer sans stresser.
Lancer une radio optimiste en France, l’un des pays dont les habitants sont souvent décrits comme les plus pessimistes au monde, est un pari audacieux, mais qui fonctionne !
Soluble(s) a voulu en savoir plus sur cette radio qui a par ailleurs réduit le temps d’antenne consacré à la publicité pour s’assurer que ses auditeurs restent zen.
Transcription (automatisée)
Article source : AirZen, la radio nationale qui diffuse 100 % de bonnes ondes
Bienvenue dans cet épisode de Soluble(s) pour un nouveau numéro spécial découverte.
Et chères auditrices, chers auditeurs, je crois pouvoir dire que nous avons tous au moins deux points communs avec notre invité.
Nous adorons écouter les gens et voulons être constructifs.
– Bonjour, Anne-Marie de Couvreur.
– Bonjour, Simon. Bonjour à tous.
Tu es la cofondatrice d’AirZen Radio, une radio nationale qui détonne dans le paysage médiatique français.
On va parler de ce média 100 % positif, de vos émissions et de votre positionnement original.
Mais d’abord, vous le savez, dans ce podcast, j’aime bien en savoir plus sur le parcours de nos invités.
On peut dire que le son, les mots, les émotions te tiennent à cœur.
Et c’est peut-être même comme ça que tu donnes du sens à tes projets d’entreprise.
Oui, ça a démarré assez tôt dans ma vie, Simon.
Moi, je suis née en Corrèze et j’adorais déjà dans ma jeunesse, écouter la radio la nuit dans mon lit.
J’avais un petit poste que je cachais sous mon oreiller et j’adorais effectivement écouter les voix de la nuit en radio parce qu’on peut se dire des choses très jolies, très intimes en radio sans jamais être vulgaire.
Et ça faisait des très jolis programmes de nuit qui m’ont fait rêver effectivement depuis ma jeunesse et ça n’a pas cessé depuis.
Je trouve que l’audio, c’est vraiment quelque chose de très intéressant, qui est à la fois très expressif, très émouvant et à la fois, il y a une forme de retenue et de pudeur qu’on aime bien dans la culture française.
Alors parlons d’AirZen Radio, c’est donc une radio positive.
On dit souvent que les Français composent l’un des peuples les plus pessimistes au monde.
C’était quand même un sacré pari de lancer une radio optimiste en France.
Ça a démarré en octobre 2021.
Oui, ça a même démarré encore plus tôt.
Ça a démarré en novembre 2018 quand Frédéric Courtine, Jean-Louis Simonet, mes associés et moi-même, on a réfléchi.
Un soir, Frédéric est arrivé et il nous a dit, les amis, je crois qu’il va y avoir peut-être une nouvelle place pour une nouvelle radio nationale en France.
Et comme il me connaît bien, il m’a dit, Anne-Marie, je te connais, ne t’emballes pas, s’il te plaît.
Parce qu’il y a très peu de chance pour que nous ayons cette place.
La compétition sera difficile.
Et donc, dès novembre 2018, tu vois, Simon, c’était avant le Covid, avant toute cette période.
Dès novembre 2018, on s’est dit, qu’est-ce qu’on pourrait déposer comme dossier qui pourrait apporter vraiment une valeur ajoutée nouvelle aux Français, au paysage audiovisuel français.
Et on a imaginé de faire une, de proposer en tout cas au CSA, une radio 100 % positive et qu’on réaliserait en journalisme de solutions.
C’était très avant-gardiste en 2018.
Il y avait peu et il y a toujours très peu de médias en journalisme de solutions en France, même si Reporter d’Espoir fait un formidable travail sur ce sujet.
Les programmes en journalisme de solutions, on les trouve plutôt dans le nord de l’Europe, en Scandinavie, en Suède, en Norvège, au Danemark.
Et donc on s’est dit, on va proposer ce projet vraiment positif qui prévoirait du journalisme de solutions dans les programmes.
Et on va voir si ça peut séduire le CSA.
Et puis, et bien la crise de 2020 passe par là.
Et on se retrouve donc à démarrer cette radio en octobre 2021.
Et véritablement, elle prend encore plus de sens qu’elle n’en avait dans nos esprits à l’époque.
Et véritablement, aujourd’hui, nous pensons qu’il est tout à fait important pour le paysage audiovisuel français que les Français puissent bénéficier d’une radio nationale 100 % positive et que ça vienne véritablement et bien compléter le paysage audiovisuel français.
C’est comme ça qu’on voit les choses.
On ne tourne pas le tuner par hasard vers AirZen Radio.
On ne vient pas non plus y écouter la dernière catastrophe, mais on s’y branche surtout, j’ai l’impression, pour s’orienter dans l’époque, se connecter à soi aussi, que trouve-t-on concrètement sur la grille des programmes?
Alors AirZen Radio, c’est une radio donc 100 % positive.
Donc la promesse que nous faisons aux Français, c’est d’aider les Français à mieux vivre.
Et ça, c’est véritablement notre mission, puisque AirZen Radio est une société à mission.
Elle appartient au groupe AMI, qui est un groupe à mission.
On est vraiment le premier groupe de médias audio en France à être passé de l’émission à la mission.
Si tu me permets cette blague.
Et donc, on a sur AirZen Radio quatre types de programmes, quatre verticales d’informations.
La verticale mieux-être sur les nouvelles façons de se soigner, les nouvelles pratiques sportives, de prendre soin de soi.
La verticale mieux-consommer toutes les nouvelles façons de consommer bio, circuit court, la déconsommation, etc.
La verticale mieux-agir qui est notre verticale vraiment d’engagement écologique.
Qu’est-ce que je peux faire pour venir en aide à ma planète, à mon climat?
Et la quatrième verticale qui est la verticale mieux-travailler sur l’avenir du travail, le télétravail, les nouvelles façons de travailler.
Et donc tout ça, ça constitue un programme.
Alors au départ, on fabrique à l’origine 300 podcasts par semaine.
C’est une très grosse production de podcasts, AirZen, 300 podcasts par semaine.
Et puis, eh bien, on a également un super beau programme radio qui associe donc ces podcasts, ces 300 sujets de la rédaction avec de la musique à émotions positives, des animateurs qui contribuent à donner la pêche et le moral aux Français.
Voilà, on a vraiment voulu travailler un programme qui soit accessible ou en podcast ou en flux et qui soit vraiment un très bon compagnon de vie et de nos journées, parce qu’on est dans un pays qui est un des plus beaux pays du monde, une des démocraties les plus avancées du monde, c’est ça, la France.
Et pour autant, on a 27 % de Français qui se déclarent en situation dépressive ou pré-dépressive.
Et ça, moi, véritablement, ça me fait mal, ça me fait souffrir.
On a une nouvelle maladie qui est apparue, qui s’appelle le Doomscrolling, qui est cette maladie des gens.
Le Doomscrolling, c’est cette maladie, Simon, des gens qui tombent malades des médias.
C’est des gens qui tombent malades, notamment de la consommation d’informations en continu.
C’est un syndrome anxio-dépressif, tu vois, quelque chose qui véritablement est une souffrance de surconsommation d’informations.
Ça touche plutôt les gens qui sont les gens fragiles, les gens isolés, les gens qui sont déjà un petit peu angoissés, et l’information vient leur rajouter de nouveaux niveaux d’angoisse.
Et ils se retrouvent comme pétrifiés, en fait, comme paralysés devant ces informations qui les inquiètent et qui ne savent pas gérer.
Donc ça c’est le Doomscrolling.
Et moi véritablement, que des Français tombent malades du Doomscrolling, ça me dérange vraiment, même si on a de très bons hôpitaux en France qui prennent maintenant en charge cette maladie.
Je n’ai pas fait des médias pour rendre les Français malades.
C’est vraiment l’inverse de la façon dont je vois la vie et mon métier.
Donc on a vraiment envie de vraiment positivement aider les Français à vivre mieux.
Tu sais, je ne sais pas si tu fais du sport, moi je fais du footing.
Et je n’ai jamais vu quelqu’un gagner une course ou même finir sa course s’il n’a pas au départ l’espoir d’y arriver.
Tu vois, quand tu mets les baskets, mais tu as envie de te dire, j’ai l’espoir d’arriver à finir ma course.
Et les Français, enfin un grand nombre de gens, mais notamment en France, on leur dit, il va falloir transformer vos vies.
On a bien tous compris qu’on allait devoir transformer nos vies.
Je pense que ça, on a tous compris dans ce pays que le climat, ça va être un peu plus difficile, que les ressources non renouvelables, eh bien ça va être plus difficile, que le monde est en train de changer.
On a tous compris.
Par contre, si on n’a pas la force de transformer nos vies, c’est comme pour le footing.
On n’y arrivera pas.
Et donc, les médias, selon moi, ont vraiment un rôle de partage de l’espoir, parce que c’est l’espoir qui donne la force aux gens.
Et donc, si les gens ont de l’espoir, on va y arriver, on va y arriver, on va passer un moment un peu délicat, mais on va y arriver, eh bien ça, ça va permettre au pays de se mettre en mouvement, les gens vont se mettre en mouvement individuellement et collectivement.
Et ça me semble vraiment très important, vraiment très important que les Français puissent bénéficier de médias qui vont leur donner une part d’espoir pour transformer leur vie.
Apporter des solutions, raconter une France qui va quand même bien, ou en tout cas qui a donc des débouchés, ce n’est pas occulter les réalités dont tu parles.
Comment vous choisissez vos sujets dans toutes ces thématiques?
Alors en fait, nous, on a choisi, on a fait plusieurs choix en créant AirZen, tu imagines, on a fait un premier choix, c’est de ne pas faire des défilés d’experts à l’antenne.
Les Français, c’est un peuple très pragmatique.
Et donc on a dit, eh bien, on va aller rechercher des preuves.
Donc 80 % des sujets d’AirZen, ce sont des preuves que nous trouvons sur le terrain d’initiatives, qui sont des initiatives qui sont en train de réussir.
Dans les organisations, dans les entreprises, dans les familles, partout sur les territoires, des gens sont en train de se mettre en mouvement et il y a des choses qui réussissent.
Et tu sais, au départ, on pensait qu’on n’aurait pas assez de sujets pour alimenter nos 300 podcasts par semaine, et en fait, on a presque trois fois trop de matière.
Et ça continue à monter.
Et ça continue à monter.
Donc véritablement, il y a plein de sujets, il se passe plein de choses très intéressantes dans ce pays.
Il faut les relayer tout simplement.
Donc on a 80 % de reportage terrain, et puis on a également des sujets que nos journalistes traitent en journalisme de solutions.
Donc le journalisme de solutions, c’est je traite un sujet uniquement si j’ai déjà identifié une solution à ce sujet, sinon je ne le traite pas.
Et donc on a pas mal de sujets.
On commence à en avoir de plus en plus en journalisme de solutions.
Donc vous voyez, c’est des preuves, des preuves sur le terrain, partout sur le terrain, et puis de la solution.
Et on traite tout ça dans un format qui est très original, qui est un format court, deux minutes, quatre minutes, huit minutes.
De façon à ce que si un reportage ou un sujet n’intéresse pas quelqu’un, les gens savent que le format est très court.
Et donc on va très vite passer à un autre sujet de découverte.
Je voulais parler d’une thématique et d’un sujet qui occupe beaucoup de place dans la vie des gens.
Vous me voyez venir, je veux parler du travail.
C’est l’une des thématiques fortes que vous explorez, le travail.
Pourquoi avez-vous fait ce choix, le travail, le monde de l’entreprise?
Alors d’abord, le monde de l’entreprise, c’est un monde qu’on connaît bien dans le groupe AMI puisque nous avons créé Mediameeting en 2004, qui est aujourd’hui le leader de la radio d’entreprise en France.
Et Mediaùeeting travaille avec les plus grandes entreprises françaises depuis à peu près 20 ans, à qui on fait des podcasts, des web radio, beaucoup, beaucoup de contenu de communication interne et externe.
Donc véritablement, on connaît bien ce sujet des entreprises et on a souhaité proposer vraiment d’aborder le sujet de l’avenir du travail, parce que le travail c’est important dans nos vies. Ça représente quand même des heures et des heures toutes les semaines, et on pense qu’il est vraiment important que les Français puissent faire un métier qui leur plaît, puissent avoir du plaisir à aller travailler, puissent trouver du sens véritablement dans leur travail. Parce que le travail, c’est quand même une grande partie de nos vies.
Et donc vraiment l’idée c’est d’explorer toutes les possibilités que nous offre le nouveau travail.
Il y a plein de nouveaux territoires qui se mettent en place sur le nouveau travail, et donc ces possibilités sur le nouveau travail sont tout à fait intéressantes, et on explore et bien le télétravail, la création d’entreprises, tous les gens de plus en plus nombreux qui créent leur micro-entreprise, etc.
Il se passe énormément de choses dans le domaine du travail actuellement, et ça va à mon avis encore beaucoup évoluer dans les années qui viennent, et c’est tout à fait intéressant comme territoire d’observation.
Et donc en effet parmi les autres sujets, tu le disais, du bien-être, les modes de vie, l’environnement qu’un sujet que vous appelez planète, la culture, beaucoup aussi de sources d’inspiration, des personnalités.
Abordons en quelques mots le modèle économique de cette radio.
Vous êtes une radio commerciale, mais vous avez jugé que pour rester ZEN, les auditeurs ne devaient pas entendre trop de pub.
Comment ça marche alors?
Oui, c’est vraiment un axe très fort du projet AirZen Radio.
C’est que nous avons modifié le business model habituel de la radio en France.
Donc, normalement, les radios en France se financent par la publicité.
Et pour les radios privés, nous arrivons à des écrans publicitaires qui sont en moyenne de 14 minutes par heure et qui même parfois peuvent aller au-delà.
En période de Noël, par exemple.
Et toutes les études sont alignées.
Les Français nous disent qu’ils en ont assez de la publicité en média, que c’est trop, c’est juste trop.
Et que donc, eh bien, ça participe au fait que les Français regardent de moins en moins la télévision et écoutent un peu moins la radio qu’il y a quelques années.
C’est qu’ils en ont vraiment assez les tunnels publicitaires.
Et donc, on a choisi, on a entendu ça et on a choisi de modifier le business model.
Ça fait partie de tout le schéma d’innovation d’AirZen Radio.
Et donc AirZen n’a que quatre minutes de publicité par heure.
Et ce sont des annonceurs que nous choisissons dont nous pensons que c’est OK, qu’ils sont, que leurs produits, que leur management, que leur entreprise est OK avec les valeurs d’AirZen.
Et donc dans ce cas-là, ils sont les bienvenus dans des écrans de quatre minutes uniquement.
Et ces quatre minutes, ces écrans de quatre minutes sont donc très valorisants pour les marques et sont acceptables pour nos auditeurs.
Et d’ailleurs, ils sont ré-annoncés, c’est-à-dire que la rédaction et l’antenne annoncent que ces marques ont été sélectionnées parce qu’elles ont une qualité de produit et que donc on les invite.
On invite nos auditeurs à les consommer prioritairement, ce qui ne se fait jamais d’habitude en radio.
Donc quatre minutes de pub par heure uniquement.
Et donc comment on se finance, parce que ça fait un trou dans la casse, considérable ce genre de décision?
Et bien, on se finance en fait parce qu’on a développé trois autres business models alternatifs.
D’abord, un business model d’engagement.
Donc on a des clubs de partenaires.
On a deux clubs de partenaires, un club de partenaires fondateurs et un club de partenaires engagés, qui sont des gens qui s’engagent avec nous pour trois ans, Simon.
Pour trois ans et donc ils s’engagent avec nous parce que ce sont des entreprises globalement plutôt précurseures qui veulent soutenir un média positif parce qu’elles estiment que c’est important pour la santé de leurs salariés, de leurs clients, de leurs fournisseurs.
Et donc avec ces entreprises, on développe des projets qui sont vraiment des projets pédagogiques d’antenne.
On fait des journées spéciales, on crée des chaînes de podcasts, on crée des webinaires, on fait plein plein de choses qui vont beaucoup plus loin que l’écran publicitaire habituel.
On a vraiment une relation très forte avec SEMA.
C’est la même chose, on les choisit, on se choisit entre nous.
Et quand véritablement une marque soutient AirZen Radio, c’est parce qu’il existe une relation forte entre l’entreprise et la marque, évidemment.
Donc, ça c’est le premier modèle, c’est l’engagement.
Le deuxième modèle, c’est l’entreprise.
Nous faisons des programmes pour des entreprises ou des organisations qui sont des programmes de communication positive, de communication de solutions.
Donc, on démarre des programmes pour des communautés d’intérêt, des clubs.
On a fait une très très belle radio pour l’APM, l’association pour le progrès du management, pour le centre des jeunes dirigeants.
Voilà, on fait plein de choses pour des gens, encore une fois, qui sont dans la même dynamique de valeur que nous.
Et puis, on a, bien sûr, notre notre business, modèle de régie publicitaire.
On vend de la régie publicitaire, mais dans les proportions que je vous ai décrit tout à l’heure, que j’ai décrit tout à l’heure.
Donc, en fait, tu vois, c’est un business model qui est très diversifié.
Il y a de l’engagement, il y a de l’entreprise, il y a de la publicité et donc la publicité peut être modeste.
Ce n’est pas un problème parce qu’elle est uniquement contributive à un business model global.
AirZen Radio, c’est donc une radio de son époque, y compris dans sa distribution.
Elle a donc obtenu des fréquences sur la radio numérique terrestre.
Explique-nous ce que c’est parce que c’est vraiment très nouveau.
Ça s’appelle le DAB Plus.
Oui, le DAB, c’est le DAB Plus, c’est le nom de la technologie.
Ça veut dire Digital Audio Broadcasting.
Et bien, c’est la technologie numérique hertzienne.
La radio FM que nous connaissons depuis 25 ans est une technologie analogique.
Et donc, elle est remplacée progressivement par une technologie numérique hertzienne qui s’appelle le DAB Plus, c’est le cas dans tous les pays du monde.
Et le DAB permet d’avoir un son de meilleure qualité, permet d’avoir des données associées.
Donc, tu peux avoir sur ton autoradio les pochettes de disques ou de livres dont on est en train de parler et permet aussi, c’est super important, d’avoir un travail plus écologique puisque nous n’avons pas un émetteur pour chaque radio, comme c’est le cas en FM.
Nous sommes multiplexés.
Donc, nous partageons des émetteurs.
Nous sommes à 13 par émetteur.
Donc, c’est évidemment beaucoup moins polluant, beaucoup plus écologique et aussi beaucoup plus économique, ce qui est très intéressant aussi que de la radio FM.
Donc, on est diffusé en DAB.
Progressivement, tous les véhicules vont avoir des autoradios DAB.
Donc, c’est la loi dans toute l’Europe depuis deux ans.
Depuis deux ans, toutes les voitures que vous achetez, quel que soit le prix, l’autoradio est un autoradio FM et DAB.
Et l’autoradio choisit la meilleure technologie en fonction de votre trajet.
Vous trouvez aussi bien sûr des postes DAB dans le commerce, à la FNAC ou ailleurs, à des tout petits budgets de 30, 40 euros.
Et puis bien sûr, AirZen est aussi diffusé en appli avec l’appli airzen.fr, sur le web, etc.
Donc, on a vraiment une diffusion de pure player numérique et en hertzien et en web.
Les émetteurs DAB sont construits aujourd’hui sur la moitié est de la France.
Au moment où nous parlons, on a construit Paris, Dijon, Lyon, Marseille, toute la Provence, toute la Côte d’Azur est construite, plus la Suisse francophone et Monaco.
Donc là, on est à 28 millions de personnes couvertes au moment où nous parlons.
Et nous démarrons actuellement nos nouveaux émetteurs.
On est en train de construire Montpellier qui démarre en juillet.
Et puis, on va partir à l’est, Strasbourg, Lille, toute la Bretagne, Nantes.
On descendra sur Bordeaux.
On sera à Bordeaux en octobre.
Dès octobre, l’émetteur de Bordeaux démarrera le 15 octobre.
Puis, on sera sur l’émetteur de Toulouse aux environs du 15 février.
Et donc, au 15 février 2024, on aura tout l’ouest de la France couvert.
Donc, tu vois, ça va aller très, très vite.
Avec les confrères, on est en train vraiment de très bien travailler.
Et donc, toutes les radios nationales sont en train de se déployer en DAB avec une très bonne qualité de travail et de rapidité.
Anne-Marie de Couvreur, donc, fondatrice de AirZen, la radio qui vous propose d’entrer dans une bulle d’infos positives, si j’ai bien lu et bien écouté.
Donc, si vous voulez en écouter plus à votre tour, on l’a dit, c’est aussi possible sur le site de la radio.
Je mets tous les liens dans la description de cet épisode.
Anne-Marie, merci d’être passée dans Soluble(s).
Merci Simon, merci à tous et à très vite sur AirZen.
Voilà, c’est la fin de cet épisode.
Si vous l’avez aimé, notez-le, partagez-le et parlez-en autour de vous.
Vous pouvez aussi nous retrouver sur notre site Internet, csoluble.media.
À bientôt.
Écoutez l’épisode complet. (Seul le prononcé fait foi)
AirZen, la radio nationale qui diffuse 100 % de bonnes ondes
POUR ALLER PLUS LOIN
- Le site d’AirZenRadio
www.airzen.fr - L’appli gratuite de la radio dans l’AppStore (iPhone)
https://apps.apple.com/fr/app/airzen/id1591270361 - L’appli sur Google Play pour les smartphones Androïd
https://play.google.com/store/apps/details?id=com.airzen.airzen&hl=en_US&gl=US
Et aussi :
Lire cet article : “Doomscrolling : quand l’excès d’informations négatives rend malade”
https://www.allodocteurs.fr/doomscrolling-quand-lexces-dinformations-negatives-rend-malade-34136.html
TIMECODES
00:00 Introduction
00:57 Une passionnée de radio
01:59 D’où vient le concept d’une antenne 100 % positive ?
04:19 Des programmes pour “aider les Français à mieux vivre”
09:06 Du journalisme de solutions et pas de défilé d’experts sur AirZen Radio
11:26 Focus sur le “bien travailler” et le sens des entreprises
13:32 Moins de pubs plus de Zénitude
17:40 DAB+ : de plus en plus d’émetteurs pour capter la radio numérique terrestre (explications)
20:55 Merci à Anne-Marie de Couvreur !
Fin
Propos recueillis par Simon Icard.
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