[TRANSCRIPTION] Calculer son empreinte carbone individuelle pour agir dès demain
Faire sa part ? Connaître les émissions de gaz à effet de serre que l’on génère personnellement peut aider à mieux savoir sur quoi agir pour celles et ceux qui souhaitent limiter leur empreinte carbone individuelle. Le cabinet de conseil Carbone 4 propose aux internautes de s’inscrire gratuitement à des conférences en ligne organisées autour d’un calculateur de bilan carbone personnel.
Écouter plus tardPour Soluble(s), Juliette Blais, consultante méthodologie chez Carbone 4 détaille l’intérêt pour les particuliers d’évaluer leur bilan carbone. Elle remarque une corrélation entre le niveau d’information sur les enjeux climatiques et les résultats des bilans carbone réalisés par les participants à MyCO2.
Transcription (automatisée)
Bienvenue dans ce nouvel épisode de Soluble(s).
Aujourd’hui, je souhaite médiatiser une démarche qui peut aider à faire sa part dans la lutte contre le changement climatique.
Et cela passe par la connaissance.
Bonjour, Juliette Blais.
Bonjour.
Vous êtes consultante chez MyCO2, un outil de bilan carbone personnel en ligne et gratuit proposé par le cabinet de conseil carbone 4.
On va voir ensemble concrètement de quoi est composée la fameuse empreinte carbone et pourquoi la calculer pour soi peut être déterminant, en tout cas pour celles et ceux qui souhaitent agir.
Mais d’abord, présentez-vous en quoi consiste votre travail chez MyCO2.
Donc moi, je m’appelle Juliette Blais et j’ai rejoint Carbone 4 et l’équipe MyCO2, il y a à peu près 6 mois maintenant.
Et pour commencer, je vais vous présenter rapidement ce qu’est l’initiative MyCO2.
Donc MyCO2, c’est d’abord un atelier ludique et collectif de sensibilisation au climat et qui permet via une approche qu’on va décrire comme non culpabilisante et surtout nuancée, de s’approprier le sujet carbone par le biais de l’empreinte carbone personnelle.
Et donc, au cours de ces conférences qui sont, comme vous le disiez, gratuites et en ligne toutes les deux semaines, on présente d’abord dans une partie introductive les enjeux du carbone.
Et puis, dans une seconde partie, qui est la partie la plus dense, les participants et les participantes peuvent calculer leur empreinte carbone personnelle.
On va dérouler tout ça dans le détail.
Mais d’abord, c’est vrai que les émissions de CO2 sont plus en plus médiatisées.
On en parle quotidiennement.
Le terme même de bilan carbone est un peu rentré dans les conversations.
Car le dioxyde de carbone est l’un des principaux gaz à effet de serre, l’effet de serre qui est responsable du réchauffement climatique de notre planète.
Mais concrètement, comment définir un bilan carbone?
Le CO2, c’est le seul gaz qui est calculé?
Expliquez-nous.
Peut-être qu’on peut rapidement revenir sur ce qu’est un gaz à effet de serre.
De manière assez concise, c’est une substance gazeuse qui va emprisonner les rayons du Soleil sous forme de rayonnements infrarouges.
En fait, la planète reçoit des rayonnements solaires et une partie traverse l’atmosphère et atteint le sol.
En retour, le sol renvoie des rayonnements thermiques.
Ces gaz à effet de serre vont emprisonner le rayonnement thermique, ce qui va participer au réchauffement global.
Alors, évidemment, sans effet de serre, il ferait environ moins 20 sur la planète Terre et donc il n’y aurait pas de vie, car pas de liquide.
Donc, on a besoin de ces gaz à effet de serre, mais l’augmentation dont les humains sont en partie responsables mène à un réchauffement qui est plus rapide que ce que ce serait dans le cycle naturel.
Et donc, il y a différents gaz à effet de serre, comme vous le disiez.
On entend souvent parler du CO2, parce que le CO2, il est responsable d’environ 64% du réchauffement climatique.
Mais il y a d’autres gaz.
On connaît aussi assez bien le méthane et on en parle de plus en plus, notamment dans l’agriculture.
Et en fait, on prend une monnaie commune.
C’est comme si on raisonnait seulement en dollars et qu’on convertissait des euros en dollars.
Eh bien, on fait la même chose pour les gaz à effet de serre, c’est-à-dire qu’on va tout convertir en CO2.
Par exemple, le méthane, il a environ, on va dire, 28 fois plus puissant d’un point de vue de réchauffement global.
Et donc, on va le compter comme 28 unités de CO2.
C’est-à-dire qu’une tonne de méthane va être comptée comme 28 tonnes de CO2 équivalent.
Et donc, dans les bilans carbone, on prend en compte le CO2, le méthane et également d’autres gaz comme le protoxyde d’azote qui est présent, par exemple, dans les engrais et l’agriculture.
Et donc, un bilan carbone, concrètement, qu’est-ce que c’est?
Par exemple, pour une entreprise, ça permet de chiffrer son empreinte carbone et de comprendre les tenants et aboutissants.
Et donc, une entreprise, si elle calcule son empreinte carbone, et bien, à la fin, on va connaître le contenu carbone des biens et services qu’elle vend.
Donc, pour le consommateur final, ça va lui permettre de calculer lui son empreinte carbone en tant que consommateur et consommatrice.
Et donc, qu’est-ce qu’une empreinte carbone?
Et bien, en fait, ça va être la multiplication d’unités physiques ou d’unités monétaires par ce qu’on appelle des facteurs d’émission.
Alors, concrètement, l’unité physique, ça va être, par exemple, un kilowattheure d’électricité.
Et donc, pour avoir l’empreinte carbone de ce kilowattheure d’électricité, et bien, on va le multiplier par un facteur d’émission qui va être, en fait, le contenu carbone par unité.
Donc, par exemple, pour la France, un kilowattheure d’électricité, c’est environ 65 grammes de CO2.
Et donc, si on multiplie ce kilowattheure par des grammes par kilowattheure, et bien, on a l’empreinte carbone de la consommation d’un kilowattheure d’électricité.
Et donc, si on somme l’ensemble de ces unités multipliées par des facteurs d’émission, et bien, on arrive à un bilan carbone global.
Et justement, vous avez calculé l’empreinte carbone moyenne d’un Français, de combien est-elle?
Oui, exactement.
L’empreinte carbone d’un Français ou d’une Française en 2019, et bien, c’était 9,9 tonnes de CO2 équivalent, presque 10 tonnes de CO2 équivalent.
Et on l’a également décomposé par poste, puis sous poste, donc à un maillage assez fin.
Ce qui est intéressant puisque, en fait, pour réduire son empreinte carbone, on a envie de commencer à s’attaquer aux postes qui représentent le plus d’émissions.
Et donc, pour ce qui est du cas français, c’est le poste qu’on a appelé Je me déplace, qui représente un peu plus de 2,5 tonnes de CO2 équivalent, avec une prépondérance de l’usage de la voiture, qui représente 2 tonnes de CO2 équivalent sur une année, pour un ou une française.
Et donc, ce poste Je me déplace, et notamment l’usage de la voiture thermique, peuvent être un des leviers d’action majeurs pour les personnes qui souhaiteraient réduire leur empreinte carbone.
Et puis, on a également le poste Je mange, qui peut être assez important, et un levier d’action également à creuser.
Dans les 9,9 tonnes de CO2 émises chaque année par une française ou un français, en effet, vous le disiez, vous avez décomposé en catégories.
Donc, il y en a cinq.
Vous disiez la catégorie des déplacements, une catégorie que vous avez appelée Je mange, Je me loge, J’achète, et enfin ce que vous avez appelé la dépense publique.
Qu’est-ce que c’est la dépense publique en termes de contribution et donc de bilan carbone?
Eh bien, dans la dépense publique, vous allez avoir le fonctionnement des administrations, également la défense qui peut compter pour beaucoup, qui peut être un secteur très carboné.
Vous allez avoir tout ce qui est infrastructure, qui permettent le fonctionnement de notre société dans la vie de tous les jours, une partie sport et culture également.
Et en fait, cette partie des dépenses publiques, elle représente dans l’empreinte carbone d’un ou d’une française une tonne 4 de CO2 équivalent.
Et ce chiffre, il est à mettre en perspective avec l’objectif qu’on devrait atteindre en 2050, chacun et chacune, si on voulait que la France respecte l’Accord de Paris.
Et cet objectif, il est de 2 tonnes de CO2 équivalent par an et par personne en 2050.
Et donc, si on prend ce chiffre d’une tonne 4, on voit qu’en 2050, il nous resterait un budget carbone par personne très faible.
Et donc, on peut également attendre de ce poste dépenses publiques, et bien qu’il diminue et que les services publics passent, eux aussi, un effort de décarbonation pour réduire cette part des dépenses publiques dans notre empreinte carbone personnelle.
Alors, vous parliez en effet de cet objectif qu’on commence à avoir beaucoup en tête, celui de la neutralité carbone à l’horizon 2050.
Donc, le but, c’est contenir le réchauffement climatique à un niveau inférieur à 2 degrés d’ici à 2100.
Alors, si cet objectif dépend beaucoup des politiques publiques, de plus en plus de gens, et c’est mon cas d’ailleurs, se demandent comment agir au niveau individuel, par où commencer.
Et c’est pour ça que c’est pour aider ces personnes que vous avez lancé MyCO2?
Exactement.
Et un chiffre qui est assez intéressant et qu’on a pu calculer, il n’y a pas très longtemps sur une base de 10 000 participants et participantes à nos conférences.
Et bien, au début de la conférence, on demande aux personnes qui participent, d’après eux, quel est leur niveau de connaissance sur les sujets climats.
Ils peuvent dire bien renseigner, sans connaissance, novices.
Et on a remarqué dans l’analyse des résultats que 2 tonnes de CO2 équivalents, c’était à peu près la différence qu’il y avait dans l’empreinte carbone d’une personne, se disant sans connaissance, et une personne bien renseignée.
Donc, en fait, on remarque qu’il y a une corrélation entre le niveau de connaissance auquel les participants et les participants de ces valeurs et leur empreinte carbone.
Et donc, pour nous, on va dire la première brique, et bien, c’est la connaissance de ces enjeux climat, puisque c’est lorsqu’on connaît son empreinte carbone et qu’on connaît ce qui la structure, qu’on peut agir sur les leviers principaux en première intention.
Et donc, quels sont ces leviers?
Eh bien, je parlais tout à l’heure de la voiture.
C’est vrai que c’est un poste souvent d’émissions très important, notamment les trajets domicile-travail, qui sont autour de 900 kg de CO2 équivalent par personne sur l’année en moyenne.
Il y a également le poste de l’alimentation.
Donc nous, qu’on a appelé Je Mange, qui est un peu au-dessus des 2 tonnes de CO2 équivalent par an, et notamment la viande, puisque si on prend une assiette d’un repas, le contenu carbone d’une assiette, eh bien si on a un plat avec de la viande rouge, on va être autour de 4 kg de CO2 pour un repas.
Et si on prend le même apport calorique, mais avec une assiette qui va être une assiette végétarienne, eh bien, on va être autour de 2 kg de CO2 pour cette assiette.
Et donc on voit que le poste, je mange, il peut être aussi un levier à actionner.
Et évidemment, il n’y a pas que l’enjeu carbone à prendre en compte.
Il y a aussi un aspect financier qui peut être incitatif.
Et on voit que sur la viande, ça fonctionne également, puisque l’achat de viande peut être une part importante des dépenses.
Et donc réduire son empreinte carbone peut aussi aller avec la réduction du prix de son panier moyen.
Et ça peut être un double effet positif, on va dire.
MyCO2, revendu qu’une approche déculpabilisante par l’information, la compréhension et la connaissance.
Mais alors concrètement, comment on réalise ce bilan carbone?
Ça se passe sur Internet?
On se rend sur votre site?
Exactement.
On propose sur notre site plusieurs dates pour ces conférences.
Il suffit de se rendre sur myco2.fr, rubrique particulière.
Et donc là, on propose des dates à peu près toutes les deux semaines, entre midi et 2, de midi à 13h30, le mardi ou le jeudi en général.
Et donc il suffit de s’inscrire un peu à l’avance.
En général, on est autour de 300, 400 personnes toutes les deux semaines.
Et donc on envoie un lien zoom une semaine avant le webinaire.
Comment ça se passe, cette conférence?
Et bien, il y a une première partie introductive où on rappelle les ordres de grandeur.
Qu’est-ce que sont les gaz à effet de serre?
Et puis on fait une large introduction également sur le sujet de l’emprunt de carbone personnel, qui est le sujet central pour nous.
Et puis ensuite vient la partie du calculateur d’emprunt de carbone personnel.
Donc on vous invite à vous créer un compte sur myco2.fr via un lien qu’on vous transmet pendant la conférence.
Et donc une fois votre compte créé, vous avez accès au calculateur qu’on a décomposé en partie de la journée.
Donc il y a le matin, la journée, le soir, les week-ends et les vacances.
Le remplissage de ce formulaire, qui est sous la forme d’un texte à trous, et bien il se fait de manière simultanée.
Donc tous les participants et les participantes le font en même temps.
Et nous, donc l’animateur ou l’animatrice, réagit indirect sur les résultats de la salle, par exemple, sur les types de chauffage dans la salle, etc.
Ça permet une certaine interactivité et également une certaine émulation.
Puisque la partie qui suit, après le calculateur d’emprunt de carbone personnel, et bien c’est une phase qu’on a appelée de témoignage où on invite les participants et les participantes à témoigner sur une action bas-carbone qu’ils auraient pu faire, par exemple un voyage en train de nuit, ou bien une randonnée de trois jours, ou bien encore le passage à une voiture électrique.
Et donc pour nous, ces conférences, elles permettent aussi de se stimuler collectivement et de partager de nouveaux imaginaires, puisque c’est bien ça tout l’enjeu.
Et enfin, il y a une toute dernière partie qui s’appelle la phase d’engagement et où en fait les participants et les participantes vont retrouver le formulaire tel qu’ils l’ont rempli avec leurs habitudes de vie aujourd’hui.
Et on va les inviter à modifier certaines de leurs réponses pour essayer de s’engager sur les 12 mois à venir à réduire leur empreinte carbone.
Et donc évidemment, on va les inviter à tenter de réduire ce qui est possible pour eux.
L’enjeu n’est pas ici de prendre des engagements qui seraient impossibles de tenir.
Donc on va leur demander d’imaginer des choses qu’ils pourraient concrètement mettre en place.
Et puis en espérant que dans 6 mois, 12 mois, ils reviennent calculer leur empreinte carbone puisqu’ils gardent accès à leur compte sans limite de temps et pour qu’ils puissent piloter leurs émissions.
Et pourquoi pas également que MyCO2 serve d’outil à la décision pour changer de véhicule, pour envisager ses vacances.
Vous parlez de réaction et d’émulation, d’un effet de groupe dans vos conférences.
Quelles sont les principales découvertes que font les participants à l’étude de leur propre bilan carbone?
Est-ce qu’on se situe automatiquement dans la moyenne ou ça dépend vraiment de son mode de vie?
Alors évidemment, on pense à possesseurs de voitures et ceux qui n’en ont pas.
Ce qui est assez intéressant dans les réactions, c’est que notamment pour les personnes qui sont novices, certaines n’avaient vraiment aucun ordre de grandeur en tête et aucune hiérarchie dans ce qui compte et ce qui ne compte pas.
Et après, il y a aussi un autre type de réaction qui est parfois oui, je sais que la voiture, pour moi, c’est le poste principal, mais voilà, je ne peux pas m’en passer.
Et donc, c’est intéressant de voir les différentes réactions.
Et puis, nous, l’idée aussi, c’est de leur donner des idées et de montrer, par exemple, que pour certains usages, la voiture électrique peut être intéressante, mais dans d’autres canons.
Et en fait, nous, l’idée, c’est aussi de nuancer et d’essayer de montrer qu’une solution peut être bonne pour certains, mais pas pour d’autres.
Donc, c’est essayer vraiment d’apporter différentes solutions.
Et puis, une partie aussi qu’on traite dans la phase d’engagement, c’est aussi d’expliquer que d’un point de vue émotionnel, notre cerveau a plutôt tendance à prioriser le court terme dans ses réactions et plutôt à réagir à des situations qui vont être abruptes.
Et le changement climatique, ça a longtemps été présenté comme un problème sur le long terme, et dont on verrait les conséquences seulement dans 10, 20, 30 ans.
Et donc, pour nous prendre conscience qu’on n’est pas naturellement incité à agir, c’est également une première brique.
Et on sait aussi que l’homme est ce qu’on appelle un coopérateur conditionnel, c’est-à-dire que nous sommes globalement prêts à faire des efforts, si et seulement si on sait que ces efforts sont partagés par tous et que chacun fait l’effort.
Et donc, nous, dans ces conférences, c’est tout l’intérêt de les proposer de manière collective, c’est-à-dire que, notamment dans la phase d’engagement, on va s’engager sur les 12 mois à venir, et son voisin ou sa voisine ou les autres participants, lorsque ça en ligne, ils sont en train de faire la même chose.
Et ça, c’est tout l’intérêt aussi de l’aspect collectif, et c’est ce qui nous différencie de d’autres calculateurs qui sont accessibles directement en ligne, mais où on se retrouve parfois un peu seul face à son constat et face à son empreinte Carbone.
Déjà plus de 40 000 participants à la conférence de MyCO2.
On ne l’a pas abordé dans cet épisode, mais vous avez donc un volet aussi pour les entreprises.
Cette fois, c’est payant, mais j’imagine que pour se renseigner, se contacter, c’est le même procédé.
On se rend sur votre site.
Exactement.
Sur le site de MyCO2, il y a une rubrique Entreprises et en fait, notre business model, c’est qu’on vend ces conférences à des entreprises et c’est ce qui nous permet de financer le développement d’outils et aussi le fait qu’on propose des conférences gratuites toutes les deux semaines.
Comprendre son empreinte pour agir dès demain.
Merci beaucoup, Juliette Blais, d’être passée dans Soluble(s).
Voilà, c’est la fin de cet épisode.
Si vous l’avez aimé, notez-le, partagez-le et parlez-en autour de vous.
Vous pouvez aussi nous retrouver sur notre site internet sur internet csoluble.media.
À bientôt !
Écoutez l’épisode complet. (Seul le prononcé fait foi)
POUR ALLER PLUS LOIN
Le site Internet : www.myco2.fr/particuliers
TIMECODES
00:00 Introduction
01:01 MyCO2, c’est quoi au juste ?
02:15 Les gaz à effet de serre
03:20 Dans un bilan carbone, on convertit tous les gaz à effet de serre en CO2, c’est “une sorte de monnaie commune”
04:38 Qu’est-ce qu’une empreinte carbone, concrètement ?
05:48 Comment est composée l’empreinte carbone moyenne des Français
07:18 Quelle contribution des services publics et des institutions au bilan carbone individuel en France ?
08:25 L’objectif de 2 tonnes en 2050
09:00 Sur 10 000 participants à MyCO2, il y a deux tonnes d’équivalent CO2 entre les mieux et les moins bien informés sur les enjeux climatiques
10:01 Les principaux leviers pour agir sur ses émissions de CO2 à titre individuel
11:27 Comment se passe la réalisation d’un bilan carbone organisé par MyCO2 ?
15:10 Les principales réactions des participants
17:37 Comment les entreprises peuvent elles participer aux conférences ?
17:54 Merci à Juliette Blais !
Fin
Propos recueillis par Simon Icard.
Ecouter aussi
Transition écologique : l’expérience personnelle de Lucas Scaltritti