C’est une semaine sonore au grand cœur. Le plus grand rassemblement caritatif des podcasteurs et podcasteuses francophone est de retour fin mars 2024 !
Durant sept jours, plus de 400 animatrices et animateurs de podcasts natifs et de certains médias vont publier un épisode “hors série” dans le cadre du Podcasthon 2024. Un numéro spécial de leur programme audio mettant en avant une association ou ONG de leur choix.
Objectif : médiatiser des causes qui leur tiennent à cœur et tenter de lever des fonds la dernière semaine du mois de mars.
Cette opération événementielle sans but lucratif est organisée par l’association Altruwe. Fondée en 2021, par deux ex-entrepreneurs dans le numérique, elle s’est donnée pour mission de promouvoir l’engagement, le monde associatif et des comportements altruistes.
Transcription (automatisée)
Article source : Podcasthon 2024 : la générosité s’exprime en cœur pendant 7 jours dans les podcasts
Bienvenue dans un nouvel épisode de Soluble(s).
Aujourd’hui, je souhaite médiatiser une solution pour coordonner la générosité des podcasteurs au profit d’associations ou de grandes causes dans la francophonie.
– Bonjour, Jérémie Mani.
– Bonjour, Simon.
Merci de me recevoir.
Avec plaisir.
Tu es le co-fondateur d’Altruwe, une fondation qui s’est donnée pour mission de promouvoir l’altruisme.
C’est avec cette ambition que tu as lancé en 2023 une grande opération caritative qui mobilise les podcasts francophones.
Cela s’appelle Le Podcasthon.
On va parler de la deuxième édition qui s’annonce, de son but.
On va voir qui peut y participer et comment.
Bref, on va tâcher de tout savoir.
Mais d’abord, tu le sais, dans Soluble(s), on se montre toujours curieux en début d’épisode sur le parcours de l’invité.
Alors, Jérémie, est-ce qu’on peut dire que tu as le numérique au cœur et que tu as décidé de mettre ton âme d’entrepreneur au service des autres?
On peut on peut tenter de dire ça.
En effet, je n’ai connu en tout cas que cet écosystème là, grosso modo, puisque j’étais étudiant en école commerce et je suis devenu entrepreneur dans la foulée.
Dans l’année 2000, c’était l’année où le web a explosé, notamment en France.
Et j’ai ensuite eu deux entreprises successives pour, grosso modo, deux fois 10 ans d’entrepreneuriat dans le numérique.
Allez, j’en viens à l’actualité qui nous réunit, ou plutôt on prend date, car tout au long de la semaine du 25 au 31 mars 2024, les auditeurs de podcasts vont souvent entendre le mot podcastthon en écoutant leur programme préféré.
Explique-nous de quoi on parle concrètement quand on évoque le podcasthon.
Il s’agit d’un grand rassemblement caritatif de podcasteurs et podcasteuses francophones.
Donc, ça touche bien sûr la France, mais également la Belgique, la Suisse, le Québec.
Et on l’espère l’Afrique francophone, mais c’est un petit peu plus de mal à se faire reconnaître là-bas.
Et l’idée, c’est de convaincre le plus grand nombre de ces podcasteurs ou podcasteuses de tendre le micro à l’association caritative de leur choix et donc d’une certaine façon d’offrir leur audience à ces associations partant du principe qu’un podcast, et puis ceux qui nous écoutent n’ont pas besoin d’être convaincus, j’imagine.
C’est magnifique en termes de qualité d’écoute justement.
On peut y passer 5, 10, 15, 20 minutes, une heure ou parfois plus.
Et on écoute quelqu’un parler.
Et donc, quand ce quelqu’un en question est un responsable ou une responsable d’association, on va découvrir les coulisses de cet écosystème.
Quelle que soit la cause défendue, il y a un certain nombre de points communs, notamment sur les challenges qu’elles doivent faire face, les associations, à aller trouver des fonds, à aller chercher des bénévoles pour quelles causes sur le terrain, comment ça fonctionne.
Ce ne sont pas des entreprises, ce sont des associations qui ont cet altruisme chevillée au corps.
Et nous, on voulait que maximum de podcasts puissent montrer en fait, qu’est-ce que cet écosystème-là.
Alors, je le disais, on va explorer tout ça en détails.
Tu as décidé d’utiliser ce qu’on pourrait qualifier du meilleur du numérique, c’est-à-dire, en tout cas, je le pense, sa capacité à relier les gens.
Et pourquoi pas les rassembler autour d’une cause.
Et comme vous le faites avec Altruwe, en tout cas, se dépasser, créer de l’engagement.
Mais pourquoi avoir choisi spécifiquement le média du podcast pour coordonner cet élan de solidarité?
On a fait aussi d’autres tentatives sur d’autres canaux, mais celui du podcast est celui qui a mieux marché.
Et on l’analyse de la façon suivante.
Je pense que la plupart des gens qui animent des podcasts le font par passion.
Ce n’est pas forcément un canal qui permet de gagner sa vie avec.
Ce n’est pas forcément un canal qui permet de gagner sa vie avec.
Et cette passion, quand elle est liée à une cause, notamment caritative, ça donne des épisodes magnifiques.
Et donc, je l’ai évoqué, cette qualité d’écoute qui est rare, sur le digital, souvent, on est un peu distrait.
On regarde un Instagram, un TikTok, un YouTube un peu rapidement.
Dans le podcast, souvent, on est quand même beaucoup plus attentif.
Il y a moyen de passer des messages de façon plus épurée.
Il n’y a généralement pas l’image.
Donc, on se concentre sur le message et pas trop sur la forme.
Et c’est ce qu’on cherchait.
Donc, une communauté de podcasteurs qui ont eux-mêmes leur propre communauté d’auditeurs.
Et ces communautés-là se réunissent le temps d’une semaine pour parler du monde associatif.
Et puis, il faut le dire, l’univers du podcast est très riche, très varié dans les thématiques à explorer et aussi les publics.
C’est pareil, on retrouve cette diversité dans l’univers du podcast, non?
On retrouve en tout cas ce parallèle que je trouve magnifique entre la diversité que tu mentionnes du monde du podcast.
Il y a des podcasts très connus à forte audience, des podcasts plus nichés.
Il y a également dans le monde associatif des associations qu’on connaît toutes et tous.
Et puis d’autres qui sont beaucoup plus locales ou beaucoup plus spécifiques.
On ne connaît que si on est touché par certaines causes, par exemple une maladie particulière, pour ne prendre qu’un exemple.
Et donc ce parallèle entre la diversité et la richesse du monde du podcast d’un côté, la richesse et la diversité du monde associatif de l’autre, elle se marie extrêmement bien dans le Podcasthon.
Il faut vraiment dire que chaque podcasteur invite l’association de son choix.
Donc, il y a un choix du cœur qui est fait.
Et souvent, ça donne lieu à des rencontres magiques parce que l’auditeur sent que l’animateur ou l’animatrice du podcast le fait avec cœur.
Il n’y a pas d’intérêt commercial derrière.
C’est vraiment fait pour faire découvrir une association particulière.
Alors, tout au long de cette semaine, alors déjà, parmi les plus gros podcasts francophones sont inscrits à cette deuxième édition.
Certains l’étaient déjà à la première.
Je prends quelques exemples.
Celle qui est un peu la maman des podcasts, Clémentine Galet, en tout cas, spécialiste de la maternité avec son podcast Bliss.
Génération Do It Yourself avec Matthieu Stefani., Anne Fleur Andrle pour French Expert, Basilic avec Jeanne Clesse.
Bon, impossible de tous les citer, car je crois avoir lu qu’il y en a déjà plus de 400 de podcasts à être inscrits.
Mais on perçoit donc cette diversité.
Tu le disais, ce sont des choix du cœur qui sont opérés.
Ce sont les podcasteurs eux-mêmes qui choisissent une cause, une association.
Oui, exactement.
Cette année, on a un peu aussi innové en essayant de mettre en relation association et podcasts, parce que le petit reproche que vous avez fait, reproche constructif, bien entendu.
Mais pour la première édition, c’était que certains podcasteurs, podcasteuses n’ont pas les contacts dans le monde associatif.
Ce n’est pas si évident d’aller trouver une association et ensuite de la convaincre de se rendre à son micro.
Donc cette année, entre les deux éditions, on a fait ce travail de lister un grand nombre d’associations très variées, en taille comme en cause, et de leur expliquer ce qu’était le podcasthon pour voir si elles étaient potentiellement intéressées.
Une fois qu’on a listé ces associations, on les pousse auprès des podcasteurs.
Mais ils ou elles sont tout à fait libres d’aller chercher une association qui n’est pas dans cette liste-là.
Et parfois, c’est parce que ça résonne avec une aventure personnelle qu’ils ont pu avoir, une cause particulière qui les touche.
Et je suis part du principe que les gens qui écoutent un podcast écoutent aussi ou se sont attachés à l’animateur ou à l’animatrice.
Et parfois, on a envie d’en savoir un petit peu plus sur cet animateur ou cette animatrice, et notamment sur les causes qui vibrent pour elle ou pour lui.
Alors toujours évidemment au profit de l’intérêt général.
Et donc ce grand marathon du podcast s’étale sur une semaine, je le disais.
Et on le sait, les associations ont besoin d’argent pour déployer leurs actions.
L’objectif est donc aussi de tenter de lever des fonds.
Et pas seulement de parler d’elle, de lever des fonds auprès des auditeurs.
Je voudrais parler de la transparence, car c’est indispensable en la matière.
Comment se déroulent les opérations de collecte des dons?
Alors très concrètement, un podcast, donc un animateur de podcast, va inviter à son micro une association.
Nous, en tant qu’organisateurs, on l’encourage à évoquer la possibilité de faire un don.
Soit en début d’épisode, soit au milieu, soit à la fin.
Idéalement dans les trois possibilités.
Et ce don se fait directement, bien entendu, à l’association concernée.
Vous pouvez vous rendre sur le site internet de cette association.
Mais on facilite aussi la tâche pour le donateur en listant sur notre site, ce sera en ligne au moment du Podcasthon, l’ensemble des associations et les liens directs vers les formulaires de dons de chaque association.
Comme ça, vous ne pouvez pas vous tromper.
Vous n’avez pas à retenir une URL qui n’est pas toujours évidente à l’audio.
Donc pour répondre de façon le plus transparente possible, et je te remercie de poser la question parce que parfois on nous évoque ce point-là.
Nous, en tant qu’organisateurs, on ne touche rien.
Il n’y a pas un centime qui passe par nous.
On n’est pas non plus rémunérés ni par les associations, ni bien sûr pas par les podcasts.
Alors la question, c’est que ça coûte un peu d’argent de faire tout ça.
Donc, on a un partenaire qui s’appelle Malakoff Humanis.
Je suis ravi de pouvoir les citer qui nous aident à boucler un peu le budget.
Et ensuite, nous, en tant que fondateurs, qu’au fondateur, on met notre propre argent personnel dans cette aventure-là, dans le cadre d’une association caritative qui s’appelle Altruwe.
Évidemment, puisqu’on met carte sur table, les podcasteurs aussi, évidemment, ne touchent rien, mais ne touchent rien.
Écouté en termes de coûts de production, c’est à leur frais, c’est leur implication, leur engagement.
En plus, si vous liez ça, j’aimerais bien effectivement insister sur ce point, parce que tu as bien raison.
Les podcasteurs, d’une certaine façon, dépensent de l’argent parce que ça coûte, comprendre qu’il faut produire l’épisode, il faut le mettre en ligne, il y a des frais divers et variés.
Et donc faire un épisode non rémunéré auprès d’une association, ça leur coûte aussi un peu d’argent, donc on les remercie pour ça.
C’est pas si anodin de le faire.
D’ailleurs, ça peut expliquer que certains nombres de podcasts ne participent pas, même si on en a déjà des centaines.
L’année 2024 marque donc la deuxième édition du Podcasthon.
Et je lis que vous souhaitez qu’elles soient encore plus belles que la première qui avait déjà réuni plus de 300 podcasts.
Alors quels sont les enseignements que tu tires de la première édition, justement, pour que la seconde soit plus belle?
La première, il faut vraiment imaginer que ça partait d’une idée, vraiment une idée toute simple et qu’on ne savait pas où ça allait nous mener.
Tout à fait franc, si on avait fait cette entrevue il y a un an pile, donc avant le premier Podcasthon, je t’aurais dit que si on avait 100 podcasts, on aurait été ravi.
Donc, on est monté finalement à 300 par le bouche-à-oreille, mais on était nous, nous-mêmes, en tant qu’organisateurs, assez peu structurés pour ça.
Donc plutôt mal organisé.
Je crois que facialement, ça s’est pas trop vu, mais derrière en coulisses, c’était moyen.
Donc on s’est organisé pour deux choses, faire en sorte de contacter plus en amont les podcasts, parce qu’un certain nombre n’avait pas entendu parler de nous au moment du podcastthon et on regrettait de ne pas pouvoir participer.
Ce qui explique qu’on en est déjà 400 et qu’on puisse encore s’inscrire.
On finira pro-loin au-dessus de ça.
Ça aussi nous a permis d’aller chercher des partenaires cette année.
On peut remercier déjà les partenaires historiques comme Ausha, qui a beaucoup poussé pour que ça se fasse connaître, comme Hello Asso également.
J’ai peur de ne pas tous pouvoir les citer.
Mais cette année, on va aussi avoir le coup de pouce d’Apple Podcast, d’Amazon Music, de Spotify, qui ont vu passer la première édition et qui ont accepté cette année de soutenir la visibilité du Podcasthon, ce qui veut dire plus d’auditeurs pour les podcasts concernés.
Et donc potentiellement plus de dons, c’est mécanique, ce qui nous convient très bien.
On a essayé un peu de structurer tout ça.
C’est pour ça qu’on dit qu’il y a probablement plus d’enthousiasme que ça sera une plus belle édition que la première.
Alors, on les a évoqués un peu tout à l’heure, mais parlons encore un peu des podcasteurs et des podcasteurs.
Ce sont le plus souvent des passionnés.
Tu as découvert tardivement cet univers.
Quand penses-tu du point de vue humain maintenant que tu en fréquentes beaucoup?
J’adore, je suis effectivement, je dois avouer que je ne suis pas podcasteur moi-même, donc je ne fais pas partie de cet écosystème.
J’ai été en tant qu’auditeur et je découvre des gens passionnés.
La plupart des gens, je ne sais pas si ceux qui nous écoutent se rendent compte, mais les animateurs de podcasts, les animateurs et animatrices ne vivent pas de ça, ne gagnent pas d’argent là-dessus, parfois arrivent à peu près à couvrir leurs frais, mais sans beaucoup plus.
Donc, ils le font par passion et cette passion, elle est vraiment magnifique.
C’est pour ça que ce sont des gens qui sont vraiment dans le don de temps, leur temps, pour partager ce qu’ils ont partagé dans le message.
Quand en plus, le message est caritatif, ça rend quelque chose d’assez beau.
On a fait, nous, en tant qu’association Altruwe, d’autres initiatives caritatives, par exemple sur LinkedIn.
Et on peut dire que l’écho n’est pas tout à fait le même.
Ce n’est pas exactement la même type de population.
Voilà, on ne va pas forcément comparer les canaux entre eux, mais pour rester extrêmement positif, le monde du podcast est vraiment un monde d’enthousiasme.
Après, il faut être honnête, c’est un monde dans lequel on n’est pas en live.
Les codes du podcast ne se prêtent pas forcément très bien sur le papier à lever des fonds caritatifs.
On n’est pas comme sur un, je vais prendre l’exemple du Téléthon à la télévision où les gens se mobilisent sur une période assez courte et puis le message est rabâché toutes les cinq minutes avec beaucoup de célébrités qui viennent et on sait que ça va se finir dans quelques heures.
Donc, il faut faire maintenant son don.
Un podcast peut encore être valide six mois, un an après.
On peut toujours faire un don six mois, un an après.
Mais par contre, il y a cette qualité d’écoute et faire passer le message qui est magnifique.
Donc, l’objectif du podcast est vraiment de faire passer des messages et si possible, dans un deuxième temps, pour ceux qui le peuvent ceux et celles qui le peuvent, faire un don.
Alors, c’est des podcasteurs, des podcasteurs généraux et disponibles pour le podcast.
On découvre cette démarche dans cet épisode et veulent y participer.
Il est encore temps jusqu’au début du mois de mars maximum, fin février idéalement.
Comment doivent-ils procéder pour participer?
Extrêmement simple.
Si vous animez un podcast, rendez-vous sur Podcasthon.org, podcast THON, comme marathon .org et là-dessus, vous avez une vignette.
Vous verrez les vignettes des podcasts qui participent.
Et sur la gauche, en haut à gauche, il y a une vignette qu’on a laissée complètement libre.
Elle est pour vous.
Il suffit de cliquer dessus.
Et en cliquant dessus, vous avez une sorte de micro-formulaire.
On va vous demander le nom de votre podcast, quelques URL, les liens de vos réseaux sociaux, toutes les informations qui vont figurer ensuite sur le site.
Ça prend, allez, une à deux minutes maximum pour le faire, pour s’inscrire.
Vous êtes quasiment automatiquement validé.
En général, on refuse personne.
Et à partir de là, on vous aide pour vous communiquer les différents éléments, le langage qui vous aideront à présenter le podcast dans l’épisode, si nécessaire.
On vous prend en main et puis on vous aide aussi, je l’ai mentionné tout à l’heure, à trouver, identifier une association qui vous touche si vous n’en avez pas vous-même déjà en tête.
Je suis sûr que la générosité va s’exprimer du côté des auditrices, des auditeurs des différents podcasts, même si les temps sont un peu difficiles avec la baisse du pouvoir d’achat un peu dans toute la francophonie.
Mais la générosité, à chaque fois qu’il y a des grands rendez-vous, ne faiblit pas.
Ça ne t’inquiète pas le contexte économique?
Non, parce que le don, c’est un des aspects, une des extrémités positives du Podcasthon, mais ce n’est pas le seul.
Le premier, c’est de faire passer le message.
Il ne faut surtout pas sous-estimer le fait que je vais le tourner différemment.
On a un certain nombre d’associations qui, à l’issue du premier podcast Podcasthon, nous ont remercié parce qu’elles ont, par exemple, eu plusieurs bénévoles qui se sont manifestés.
Ça, ça vaut quelque chose, ça a une valeur, parce qu’il y a des partenariats qui ont pu se mettre en place, soit entre associations, soit avec, par exemple, des entreprises locales qui ont découvert cette association à travers du Podcasthon.
On nous a aussi mentionné que le fait d’être invité au micro d’un podcast aide parfois dans les dossiers de subventions, soit auprès des collectivités locales, soit auprès des appels à projets de fondation, par exemple.
Vous savez, il faut quand même remplir des dossiers et souvent, pour sortir du lot, c’est bien de pouvoir montrer qu’on a été invité.
Ça donne un contenu audio qui se rajoute au texte et qui, parfois, peut faire un peu la différence.
Donc, il y a plein de petites choses comme ça qui sont positives.
Bien sûr, si on peut avoir des dons pour l’association, c’est encore mieux.
Mais ce n’est pas le seul élément.
Je mets les liens et toutes les informations pratiques dans les notes de l’épisode.
Mais c’est facile.
Podcasthon, on trouve facilement Podcasthon.org sur Internet.
Jérémie Mani, coordinateur du Podcasthon, une semaine sonore au grand cœur.
On note les dates du 25 au 31 mars 2024.
On peut aussi vous suivre sur les réseaux sociaux.
Tout à fait.
On est très présents sur Instagram et LinkedIn notamment.
Merci Jérémie d’être passé dans Soluble(s).
Merci et un grand plaisir, une excellente journée à tous ceux et celles qui nous écoutent.
Si vous l’avez aimé, notez-le, partagez-le et parlez-en autour de vous.
(seul le prononcé fait foi)
POUR ALLER PLUS LOIN
Voir la liste des podcasts inscrits sur le site : www.podcasthon.org.
Les inscriptions sont possibles jusqu’à fin février-début mars via ce formulaire en ligne.
Le site de l’association Altruwe organisatrice du Podcasthon 2024 : www.altruwe.org.
TIMECODES
00:00 Introduction
01:06 Le parcours de Jérémie Mani
01:49 Le Podcasthon, c’est quoi ?
03:25 Le média podcast, pourquoi ce choix ?
04:31 La diversité des thèmes et des causes
06:16 Les causes, comment sont-elles choisies ?
07:51 Les dons, comment sont-ils collectés ? Par qui ?
10:10 Vers une deuxième édition du Podcasthon plus belle que la première
11:55 Les podcasteurs sont des gens passionnés
13:59 Inscrire son podcast pour y participer
15:14 Le contexte économique et le don
16:33 Merci à Jérémie Mani !
Fin
Propos recueillis par Simon Icard.
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