[TRANSCRIPTION] StudiAva : Le « Tinder de l’orientation » post-bac qui utilise l’IA pour aider les lycéens
Face à la complexité de Parcoursup, Wassim Benouis et Johan Ravel ont créé StudiAva, une plateforme d’orientation innovante. Inspirés par les disparités d’accès à l’information qu’ils ont constatées, ils ont développé un outil utilisant l’intelligence artificielle pour aider les lycéens à trouver la formation qui leur correspond.
Écouter plus tardFonctionnant comme un « Tinder de l’orientation », StudiAva analyse les résultats scolaires, les aspirations et les « soft skills » des jeunes pour leur proposer des formations personnalisées.
Au-delà des notes, l’algorithme prend en compte les compétences comportementales, souvent négligées, mais essentielles pour réussir.
En posant des questions originales comme « Que fais-tu le week-end ? », StudiAva permet aux jeunes de mieux se connaître et de découvrir des filières inattendues.
L’objectif ? Démocratiser l’accès à l’orientation et aider les jeunes, en particulier ceux issus de milieux défavorisés, à faire des choix éclairés. StudiAva a déjà convaincu : 64% des utilisateurs ont intégré au moins une formation proposée par la plateforme dans leurs vœux Parcoursup.
Récompensée par le prix Radio France des Talents des Cités, l’entreprise ambitionne de devenir un acteur incontournable de l’orientation en France.
Pour Soluble(s), Wassim Benouis, cofondateur de StudiAva revient sur son innovation et détaille son approche qui concilie IA et accompagnement humain.
Transcription (automatisée)
Article source : StudiAva : Le ”Tinder de l’orientation” post-bac qui utilise l’IA pour aider les lycéens
– Bienvenue dans un nouvel épisode de Soluble(s).
Aujourd’hui, j’explore une solution qui permet de mieux s’orienter dans le choix de son orientation, justement, pour ses études et sa formation, après le bac en France.
Et on va voir que l’intelligence artificielle peut donner un coup de pouce, un coup de main.
Bonjour, Wassim Benouis.
– Bonjour.
– Tu es co-fondateur de StudiAva, une plateforme d’orientation post-bac qui utilise l’intelligence artificielle pour aider les lycéens à trouver leur voie et se présente comme le “Tinder de l’orientation”.
On va voir ensemble à la variété des difficultés qui peuvent se présenter à des jeunes qui ne savent pas trop quoi choisir comme études.
On va parler de tes réponses, celles de ta société et puis en toile de fond, on évoquera souvent Parcoursup qui est le passage obligé par lequel les lycéens français font leur candidature et formulent leurs vœux pour leur inscription dans les formations de l’enseignement supérieur.
Mais d’abord, on a envie d’en savoir plus sur toi, sur ton parcours, qu’est l’étude que tu as fait justement et où tu as grandi ?
– Bonjour Simon, merci pour l’invitation.
Alors moi, j’ai grandi à Marseille, ce qu’on aime bien dire, sous le soleil, les cigales et l’accent chantant.
Moi, j’ai eu ma première (on en reparlera), mais ma première.. choc, ma première ouverture, en tout cas, ma vision, c’est quand je suis parti à Paris pour entrer en école d’ingénieurs.
– En quoi a consisté ce que tu as appelé un choc ?
Un changement de culture ?
– Pas de culture, d’ambition, de vision, de réalité.
Moi, c’est ce qu’on défend à StudiAva aussi, mais quand on était à Marseille, quand j’étais à Marseille, je n’imaginais pas, en fait, toutes les opportunités de parcours qu’on pouvait avoir, tout le réseau possible qu’on pouvait atteindre à notre âge et surtout toutes les choses concrètes qu’on pouvait réaliser.
Et quand je suis arrivé à Paris, en école d’ingénieurs, j’ai vu qu’on pouvait rencontrer de grands groupes et qu’ils pouvaient s’intéresser à ce qu’on pouvait proposer.
Il y a de l’ambition en fait qui s’est créé en voyant tous les parcours de mes camarades, que ce soit dans l’entrepreneuriat, mais aussi dans les emplois, etc.
Et ça là où je me suis dit bon, au-delà de la fracture sociale, économique et aussi cette fracture géographique qui, moi, m’avaient marqué, et quand je suis arrivé sur Paris, c’était un peu la découverte, quoi, de nouvelles aventures.
– Paris, la capitale, est aussi de nouveaux horizons, une question de réseau, on entend aussi, d’informations et de connaissances sur les débouchés, sur les études et sur les opportunités.
On va déplier tout ça ensemble, et en d’abord, on entend chaque année des témoignages qui évoquent un certain stress lié à l’utilisation de Parcoursup.
Est-ce que tu peux nous décrire cette plateforme qui existe depuis 2018 ?
Elle a été mise en place par l’État pour fournir un système efficace d’inscription, et en finir avec le système précédent qui reposait essentiellement sur un tirage au sort, c’est ça ?
Qu’est-ce qu’est-ce qui a changé ?
– Alors moi, l’époque, j’avais utilisé APB, qui était l’admission de Post-bac, qui a comme principale modification de Parcoursup, l’ordre des vœux.
Donc, à l’époque, nous, on visait un classement, et ça marchait par validation, si on avait notre vœu 1, on était pris, sinon on passait au vœu 2, etc.
Je disais, la principale modification avec Parcoursup, c’est, il n’y a pas d’ordre de vœux.
C’est d’ailleurs pour ça qu’on a de belles surprises lors des résultats, c’est qu’il y a beaucoup de jeunes qui se retrouvent avec, “vœu en attente”, et qui ne comprennent pas, c’est la surprise.
Finalement, ça se débloque petit à petit, et on aide les parents, notamment, à décrypter tout ça.
La principale ambition de Parcoursup et d’APB, en tout cas, de ces plateformes-là, c’était vraiment de faciliter le travail de sélection des professeurs, des directeurs d’établissements, parce qu’avant, ils recevaient des dossiers papiers, et ils devaient les lire, faire un choix, en discuter, et là l’idée, c’est de digitaliser l’ensemble, et la sélection est plus simple.
Est-ce que la sélection est plus simple ?
Donc ça, c’est l’autre débat, c’est aussi la controverse de cette plateforme Parcoursup, qui fait qu’aujourd’hui, on a beaucoup de jeunes qui sont insatisfaits, mais surtout beaucoup de jeunes qui sont frustrés, parce qu’ils ne savent pas ce qu’il y a derrière la machine, et qui pensent qu’il y a un algorithme aléatoire, qui les redistribuent, au bon gré de leurs bulletins, voire, de leur parcours, voire d’autres choses.
Donc c’est plutôt le mystère qui accentue cette… ce mysticisme.
– Oui ce stress, et puis c’est un moment important, dans la vie de chaque jeune, de chaque lycéen.
D’ailleurs, ces inscriptions et les démarches se font avant l’obtention de son bac.
Et on a besoin d’informations pour justement nourrir ces 10 vœux, car ce sont 10 vœux que l’on peut faire dans cette plateforme, 10 vœux d’orientation, l’orientation et donc un défi major.
Et notamment avec le nombre colossal de formations disponibles, justement, dans Parcoursup, tu dis que StudiAva, ton entreprise et ton service, c’est le “Tinder de l’orientation”.
Peux-tu nous expliquer comment fonctionne ton service, ton algorithme et qu’est-ce qu’il prend compte concrètement ?
– En fait, c’est parti un peu de mon histoire.
Moi, j’avais une maman qui me surveillait beaucoup sur mes félicitations, sur mon bulletin, elle voulait que je sois un excellent élève.
Mais mes parents et mon entourage, en tout cas, n’avaient pas les informations à me fournir pour la poursuite post-bac.
Donc c’était, il faut le bac, mais après, qu’est-ce qu’on fait ?
Donc c’est suite à ça que, le premier avis, la première idée à commencer à tomber et de me dire qu’on va qu’est-ce qu’on peut faire pour avoir cette information ?
Quand je suis entré en école d’ingénieurs, parce que j’ai rencontré quelqu’un un peu par hasard qui m’a expliqué que l’école d’ingénieurs, c’était sympa.
Au dernier moment, c’était en terminale !
Je me suis dit, aujourd’hui, on a énormément de potentiel sur Marseille.
On a, bon, je vois mes amis d’enfance qui ont des capacités intellectuelles, non négligeables, qui font des choses formidables, mais qui derrière, et à côté, font des métiers précaires, voire des métiers qui ne leur correspondent pas du tout.
Donc on s’est dit, il faut absolument apporter l’information au bon moment, à des jeunes qui ont souvent potentiel, mais en tout cas, on doit leur faire correspondre avec des métiers qui correspondent à leurs ambitions et à leurs profits.
Et c’est là où on s’est dit, pourquoi pas utiliser la tech, le numérique, pour traverser les frontières, pour répondre à cette grande problématique de l’information.
Et bon, debout, on s’amusait, c’est un peu un jeu, on a codé un petit truc qui fait matcher un peu le profil avec plusieurs formations.
Et après, on s’est rendu compte qu’il fallait professionnaliser parce qu’il y avait une vraie demande.
Donc moi, je faisais des petits cours particuliers pour payer mes frais de scolarité.
Et, c’est là, les parents m’ont porté encore dans cette idée.
On me disait « en bas super, mon fils, il a 18 ans, mais qu’est-ce qu’il va faire plus tard ?
Moi, je ne sais pas, lui ne sait pas.
On fait les salons de leur orientation là, mais concrètement, ça ne nous aide pas. »
Donc, ça nous a conforté, on a, on a, on a, je me suis associé avec Johan qui était mon maître de stage à l’époque.
Et on a codé un truc sympa et on a commencé à le commercialiser depuis un an maintenant..
– Alors, ce truc sympa, ça s’appelle donc StudiAva, c’est un service qui est donc disponible.
Qu’est-ce qu’il prend en compte concrètement dans les demandes que font les jeunes ?
C’est-à-dire qu’on tape, sans trop savoir ce qu’on veut, on est guidé ?
– Oui, on essaye de “leurrer” en tout cas un peu le lycéen, pour lui comprendre que…
En fait, l’orientation, c’est pas sexy…
Donc si on arrive tout de suite avec une démarche d’orientation scolaire, on décroche.
Donc, nous, on a une approche un peu ludique et on travaille sur trois grand-pôles.
Le premier, c’est le profil académique, donc on propose au jeune de remplir un petit bulletin interactif, assez sympa, avec un petit système d’émojis.
Il choisit où est-ce qu’il veut aller géographiquement après le bac et des petites questions sur les Soft Skills.
Donc, des questions détournées du style, tu fais quoi le week-end ?
Est-ce que tu es capitaine de ton équipe de football ?
Ah = leadership.
Est-ce que tu as des responsabilités ?
Est-ce que tu cuisines ?
Ah, ok créativité !
Enfin, des choses comme ça.
Donc, on va les récupérer des petites questions détournées pour aller sortir des soft skills.
Donc, des compétences que le jeune n’est pas qu’elle peut vous identifier.
Et après, faire matcher le tout.
Dans la machine, ça fait match avec des formations, post-bac.
Donc, on est dans un algorithme assez classique, qu’on utilise sur les réseaux sociaux.
Donc, ce n’est pas du machine learning, en tout cas, pas de l’IA pure.
Mais ça permet de faire un premier tri.
Donc, on aime bien parler de défrichage, ce qu’il faut se dire aujourd’hui, c’est qu’on a 24 000 formations.
Et aujourd’hui, un jeune, il est perdu, c’est l’océan pour lui.
Donc, l’idée, c’est lui en proposer une dizaine qui va matcher avec son profil
– Donc, c’est un conseiller, une conseillère d’orientation disponible à tout moment.
Tu disais, tu as parlé des soft skills.
Pourquoi est-il si important de prendre en compte ces compétences comportementales ?
C’est-à-dire, c’est des compétences qui ne sont pas académiques.
Pourquoi c’est important pour bien choisir son orientation de les connaître ?
– Parce que aujourd’hui, elles sont un facteur, et même depuis toujours, déterminant dans l’avenir, dans la carrière, dans l’ambition qu’on veut porter.
Ça, c’est le premier point.
Deuxième, c’est la facilité qu’elles vont engendrer dans le métier qu’on va faire.
Je donne un exemple, en tant qu’ingénieur, si on n’est pas capable de travailler en équipe et qu’on n’aime pas ça, ça devient vite compliqué de se projeter dans ce métier.
Pareil, pour la créativité, il y a des métiers où, sans créativité, ça devient très vite compliqué.
Donc, en fait, on a des jeunes qui s’orientent vers des métiers parce qu’ils ont vu telles séries, parce qu’ils ont quelqu’un de la famille qui fait ça.
Et au bout d’un moment, bah, ils disent bah, ça ne plaît pas après le premier stage, c’est parce que les soft skills ils ne nous correspondent pas.
Donc, il y a un travail, ce premier travail, d’identification.
Et moi, j’en suis un bon exemple.
J’ai fait, j’ai fait, je me suis orienté, dans le génie civil, donc ingénieur en construction, parce que j’ai vu ça dans Admission post-bac à l’époque.
Et aujourd’hui, bah, je me rends compte que ce n’est pas un métier fait pour moi, je me passionne une pour la finance, pour l’entrepreneuriat, des choses comme ça.
Donc, il y a eu, il y a un vrai travail, en tout cas, sur l’identification des soft skills, permettre au jeune de trouver la voie, en tout cas, les voies qui sont susceptibles de lui correspondre.
– Alors, j’ai fait mon introducteur en mettant l’accent sur l’intelligence artificielle, tu parles d’algorithme, mais restons un peu dans les coulisses.
Et tu dis.
Pour faire simple, ce n’est pas ChatGPT qui est branché à ton système, Comment ça marche ?.
Donc, on utilise le principe de content glittering, donc c’est par base de maisons, en fait, sélectionnées.
Si on aime les maths, on a de bonnes notes et que derrière, on est intéressé par la biologie.
Alors les points vont se rejoindre et on va être intéressé et dire, j’ai vers les métiers d’ingénieurs en biologie, les prépas BCPST-TV, il y a un peu de médecine, d’infirmier, tout ça.
Donc en fait, c’est des correspondances qui vont se rejoindre et qui vont faire un arbre de décision, en fait, qui va proposer des formations, qui correspondent avec le plus de critères, en fait, à cocher.
– On reste un peu dans les coulisses de StudiAva, un mot de ton modèle économique.
Tu es, donc, le cofondateur d’une entreprise privée, vous travaillez en partenariat avec des collectivités locales pour déployer ce service pour rendre accessible à des jeunes.
C’est-à-dire qu’il y a actuellement des jeunes qui ont un accès gratuit à ce service et d’autres peuvent avoir un accès payant ?
– C’est ça.
Donc, on a trois modèles.
On travaille avec un modèle client B to C, si des parents veulent le payer, utiliser l’outil pour leurs enfants, c’est possible.
On a quand même une réalité, c’est qu’il y a beaucoup de jeunes qui ne peuvent pas se le payer, des parents qui ne peuvent pas se le payer, notamment dans les zones de quartier prioritaires de la ville ou dans les zones de rurales.
Donc on travaille avec les collectivités qui achètent les licences, des accompagnements aussi, humains et les redéployent pour les personnes concernées.
Donc là aujourd’hui, c’est une grosse partie de notre activité, c’est l’action avec les collectivités.
On a un troisième modèle qui est celui de la marque employeur, donc on travaille avec des entreprises qui veulent commencer à parler de leur métier, de leur branche, auprès d’une cible assez jeune qu’ils ont du mal à toucher.
Donc, on a mis en place un dispositif innovant pour y répondre.
– En préparant cette émission, tu me disais que tu as commencé avec des collectivités locales autour de ta région d’origine, autour de Marseille, c’est ça ?
– C’est ça, on va en travailler avec la Métropole Aix-Marseille, notamment, la ville de Marseille et d’autres petites villes et communes du secteur.
– C’est le début d’une aventure entrepreneuriale pour toi, tu as lancé avec ton associé, cette société en 2023.
Quels sont les premiers chiffres de ton impact ?
Combien de jeunes as-tu aidé avec StudiAva ?
– Donc là, on dépasse autour des 4 000 jeunes accompagnés grâce à StudiAva et sur l’orientation.
On a des chiffres intéressants sur l’impact, on a 64 % des jeunes qui ont utilisé l’outil, qui déclarent à avoir utilisé au moins un vœu proposé par la plateforme sur Parcoursup.
Donc on est plutôt satisfait sur ce point-là.
On a 80 % de jeunes qui déclarent à avoir découvert une formation qui ne connaissait pas grâce à l’outil.
Donc ça, c’est vraiment des chiffres significatifs, on est extrêmement satisfaits et on considère que la mission est réussie.
– L’ouverture de Parcoursup pour la rentrée 2025 approche à grands pas…
On se situe dans cet épisode début décembre (2024).
Je vais vous mettre le calendrier précis dans la description de l’émission.
Mais notons que le service ouvre, pour sa première phase, le 18 décembre avec la carte des formations et la période d’inscription.
Ensuite, il y a une période de formulations des fameux dont on a parlé et de la constitution de son dossier sur une période qui s’étend du 18 janvier au 2 avril 2025.
On imagine que c’est un véritable temps fort pour vous aussi à StudiAva, vous êtes sur les starting blocks, là ?
– Totalement, sur la partie collectivités, mais aussi sur la partie parents, parce que chaque année, c’est toujours pareil.
On a des gens qui se réveillent à la dernière minute et qui vont essayer d’éteindre l’incendie.
C’est possible, on fait un peu des sujets d’urgence sans problème.
Mais il faut quand même essayer de se dire que le dossier Parcoursup, ça se prépare.
Idéalement, ça se prépare depuis la seconde.
Donc avec les dossiers de notes, mais c’est surtout avec le profil et le parcours.
C’est souvent une histoire qu’il faut remonter.
Donc l’idée c’est de le préparer le plus tôt possible, si c’est le cas, n’hésitez pas à nous contacter si besoin.
– Wassim Benouis, donc au fondateur de StudiAva, je mets dans la description de l’épisode aussi qu’on s’est internet.
Mais c’est facile, StudiAva. com, vous êtes aussi présents sur les réseaux sociaux ?
– Oui.
Instagram, LinkedIn, TikTok.
– Instagram, LinkedIn, TikTok, merci Wassim d’être passé dans Soluble(s), merci d’être passé dans cette émission !
– Merci Simon, merci pour l’invitation.
Voilà, c’est la fin de cet épisode.
Si vous l’avez aimé, notez-le, partagez-le et parlez-en autour de vous.
Vous pouvez aussi nous retrouver sur notre site Internet, csoluble.media.
À bientôt.
TIMECODES
00:00 Introduction
01:21 Le Parcours de Wassim Benouis
03:22 Comment fonctionne Parcoursup
05:55 Le concept de StudiAva et l’IA
08:17 Aider les jeunes à identifier leurs vœux d’orientation
09:56 Les softs skills
11:21 L’algorithme de StudiAva
13:53 Les premiers impacts
15:52 Merci à Wassim Benouis !
Fin
Propos recueillis par Simon Icard.
POUR ALLER PLUS LOIN
- Voir : le site de Studiava
- Consulter le calendrier de Parcoursup 2025 [Ouverture le 18 décembre 2024]
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