[TRANSCRIPTION] 2050Now, le média qui vise 14 millions de Français, la « classe écologique » – Avec Aude Baron
Comment rendre désirable une vie quotidienne et un système économique compatibles avec les objectifs climatiques à atteindre d’ici à 2050 ?
Pour le groupe Les Echos-Le parisien, une de ses réponses se retrouve dans le dispositif 2050Now.
Le groupe qui appartient au leader mondial du luxe, le Français LVMH, a lancé un nouveau média, 2050Now, dédié aux enjeux écologiques.
Il repose sur deux piliers : un média 100 % numérique qui diffuse ses vidéos de décryptage, de partage des solutions et interviews de spécialistes sur les réseaux sociaux en parallèle de newsletters éditoriales, et “La Maison 2050 “, un centre de connaissances pour les entreprises qui souhaitent “accélérer leur transition durable”.
Plongée dans les coulisses de 2050Now avec Aude Baron, la rédactrice en chef de ce nouveau média constructif qui monte en puissance depuis son lancement au printemps 2024.
Transcription (automatisée)
Article source : 2050Now, le média qui vise 14 millions de Français, la « classe écologique » – Avec Aude Baron
Bienvenue dans un nouvel épisode de Soluble(s).
Aujourd’hui, je m’intéresse à un nouveau média constructif.
Son modèle est original et sa promesse est d’aider le public à comprendre et agir maintenant sans attendre 2050.
Bonjour Aude Baron.
Bonjour.
Tu es la rédactrice en chef de 2050Now, un nouveau média 100% digital qui se consacre à la transition environnementale alors que la France et l’Europe sont engagées dans une transformation ambitieuse et existentielle, une transition qui a pour but de faire de notre continent un espace neutre en carbone d’ici à 2050 justement, et c’est en réponse au réchauffement climatique.
On va parler de ses formats, de son style, de son association avec un centre de connaissances et de sa montée en puissance avec le groupe Les Echos-Le Parisien, à qui ce média appartient.
Les Echos-Le Parisien appartiennent à LVMH, le leader mondial du luxe.
Mais d’abord, on veut en savoir un peu plus sur toi, Aude.
Tu es une journaliste.
Est-ce qu’on peut dire que les transitions et les nouveaux modèles de média jalonnent ton parcours professionnel ?
Parle-nous un peu de ce que tu faisais avant de lancer 2050Now au printemps 2024.
Disons que j’ai participé à la création de nombreux dispositifs éditoriaux, que ce soit des médias en tant que tels ou sinon des formats, des créations de contenu sur certaines plateformes.
Dans les grandes lignes, j’ai commencé par la radio et ensuite je me suis spécialisée sur le digital.
J’ai une bonne expérience des sites Internet qui n’existent plus avec Le post.fr, qui était le laboratoire éditorial du monde.
Puis, j’ai créé pour le Nouvel Obs, il y a une bonne dizaine d’années, maintenant, même 15 ans, ça ne rajeunit pas, le Plus, qui était une plateforme participative.
Et en parallèle de ça, j’avais mon blog restaudeparis.com, qui existait pendant 10 ans et qui a été un joli petit modèle, qui a fini par être la rubrique gastronomique de l’Ops.
Et puis un bouquin en papier parce que le papier n’est pas tout à fait mort.
Et ensuite, j’ai passé neuf magnifiques années à Eurosport, où j’ai mis les mains dans le cambouis de la vidéo sur toutes les plateformes, que ce soit des sites, plateformes digitales, linéaires.
Et j’ai rejoint le projet 2050Now en décembre 2023.
Allez, venons-en à 2050Now, justement.
Cela veut dire maintenant en anglais.
Et je le disais, 2050, c’est l’horizon d’une transition écologique aboutie.
On va tout savoir de ce média, mais décrivons-le en premier lieu.
C’est un média à 100% digital.
La vidéo est l’un de ces formats stars.
Ceux qui sautent aux yeux en consultant les premiers contenus, c’est l’incarnation des sujets avec des personnes qui s’adressent directement au public face à la caméra.
Avec un ton aussi qui passe par le tutoiement.
Tu as voulu proposer un média qui emprunte les codes actuels en prise directe avec les audiences?
Comme on est sur les plateformes digitales, il faut prendre les codes de plateformes digitales, sinon le message ne passe pas.
L’objectif c’est d’aller là où les gens sont.
C’est-à-dire sur les plateformes sociales comme Instagram, TikTok ou YouTube.
L’objectif c’est de s’adapter.
Et non pas de créer une narration qui ne sortirait de nulle part, mais plutôt de reprendre à chaque fois les codes de chaque plateforme.
Pour l’instant, on a surtout travaillé sur Instagram.
Il viendra en temps de TikTok et YouTube à partir du mois de septembre.
D’un certain point de vue, la lutte contre le changement climatique et le déclin de la biodiversité peuvent s’apparenter comme le défi central de ce siècle, ou au moins la première moitié de ce siècle.
Quelle est la mission concrète que s’est donnée en tant que média 2050Now?
C’est un changement absolument énorme parce que nous, ce qu’on souhaite, c’est accompagner les gens dans leur transition, voire transformation écologique.
Et en fait, c’est un défi absolument énorme puisque personne n’a vraiment envie d’y aller parce que ça demande des changements qui sont profonds et importants.
Donc nous, notre ambition, plutôt que de dire qu’on est un média sur l’environnement, c’est de construire un média qui va regarder le monde avec les lunettes de l’environnement, ce qui est un petit peu différent, si tu veux.
Et c’est d’abord des sujets sociétaux, les questions que tout le monde se pose, comment je me forme, quel est le métier de demain, comment je consomme, que ce soit au niveau alimentaire, au niveau du textile, comment je pratique mes loisirs, que ce soit partir, et ce n’est pas forcément partir loin de chez soi, mais c’est comment est-ce qu’on voyage, quel est le voyage de demain, comment on pratique du sport, voilà toutes ces questions qui sont dans notre quotidien à tous, comment est-ce qu’on les modèle et comment est-ce qu’on en crée des objets désirables.
Et c’est ça surtout notre challenge, c’est plutôt que de dire ce qu’il faut arrêter de faire, c’est d’essayer de proposer des solutions et de proposer ce qu’on peut faire.
Un média qui regarde donc le monde tel qu’il est au quotidien avec les lunettes de l’environnement, mais on ne va pas se mentir, on le mesure chaque jour ici aussi.
Il y a deux défis dans ce défi, si je peux dire.
Pour les journalistes et les médias, il faut parvenir à intéresser les gens avec l’écologie.
Et parmi le public, les plus jeunes qui ne sont pas les plus assidus à consommer de l’information, en tout cas dans les canaux et les circuits classiques, les beaucoup moins jeunes qui peuvent parfois se sentir moins concernés, en tout cas par l’action pour remédier aux défis climatiques.
Comment avez-vous abordé concrètement ces points?
Il y a une cible en particulier où vous vous adressez à tous les publics?
Alors, on ne s’adresse pas à tous les publics puisqu’on va s’adresser déjà à…
On a croisé différentes études et en gros, on a identifié 14 millions de Français, de Françaises, qui font partie de ce qu’on appelle la classe écologique.
Donc, ce sont des personnes qui ont envie d’entamer une transition écologique, mais qui ne savent pas forcément comment faire.
Et qui, d’une part, se méfient de tous les discours climato-sceptiques et à l’opposé de l’autre spectre, en ont un peu aussi à citer des discours qui sont militants ou activistes et qui peuvent un peu réfréner quand on n’est pas complètement dans le mouvement.
Et donc, si tu veux, ces 14 millions de personnes, elles peuvent être dans l’inaction faute de savoir par quel bout commencer.
Parce que parfois la feuille de route est tellement impressionnante qu’à force de donner le vertige, elle mène à l’inaction.
Et donc nous, c’est vraiment ces personnes-là qu’on souhaite toucher.
Donc 14 millions sur 66 millions de Français, c’est déjà un beau morceau.
Et ensuite, au niveau des classes d’âge, on va s’adresser en gros aux personnes qui ont entre 18 et 45 ans.
C’est-à-dire pourquoi à 18, même 20 ans, on s’adresse à des personnes qui vont commencer leur vie professionnelle.
Parce que ce qu’on souhaite établir, c’est une relation tripartite, science, entreprise et média.
Quand je dis science, c’est le partage de tout ce qui se sait.
C’est-à-dire que le débat va porter sur les solutions et non pas sur le constat.
En fait, le constat du réchauffement climatique, ça, il n’y a pas à débattre chez nous.
En revanche, après, il peut y avoir évidemment un débat sur les solutions.
Et quand je parle de l’entreprise, c’est qu’on parle du principe que les entreprises sont une grande partie du problème et elles doivent, de fait, être une grande partie de la solution.
Et quand on parle d’entreprise aussi, c’est de l’entreprise par, évidemment, ce qu’on entend au sens classique du terme, c’est-à-dire un ensemble de personnes qui travaillent, mais c’est aussi tout ce qui est initiative individuelle.
Donc en fait, nous, notre objectif, c’est vraiment d’accompagner les gens depuis leur sphère personnelle.
Comment est-ce que j’agis?
Comment est-ce que je prends des initiatives, j’entreprends dans mon cercle familial, social, d’amis, d’études.
Et ensuite, parce que finalement, on parle de B2B, B2C, mais on est avant tout des individus.
Et ces individus qui agissent dans leur sphère personnelle vont aussi agir par ricochet dans leur sphère professionnelle.
Pour agir maintenant, donc en diffusant des informations, des contenus informatifs, 2050Now n’est pas, à proprement parler, un média d’actualité, au sens où l’actualité la plus chaude, la plus brûlante n’est pas traitée au quotidien.
Qu’est-ce qui fait un bon sujet pour 2050Now?
Comment tu sélectionnes les informations à traiter?
Alors, on n’est pas un média d’actu chaud.
En plus, l’objectif est aussi de se distinguer.
Il y a plein de médias sur notre créneau qui existent et qui font un boulot formidable.
On va être un média, on va dire, non pas d’actu, mais dans l’actu.
Et l’objectif, c’est à la fois de trouver l’équilibre entre des sujets qui vont, ce qu’on appelle des sujets ever green, donc qui ne sont pas forcément directement liés à l’actu.
C’est des sujets sociétaux qu’on peut lire à tout moment, qu’on soit en janvier à décembre, en 2024 ou en 2028.
Et puis, on va aussi rebondir sur des sujets qui font l’actu.
Là, tu vois, par exemple, il y a les Jeux olympiques qui arrivent et on est en train de préparer une série sur le sport où on va aller rencontrer des athlètes qui agissent et qui sont dans l’action, soit pour changer leur propre pratique du sport, soit pour réfléchir sur le sport de demain.
Concrètement, à quoi ressemblera le sport en 2050?
Voilà, donc tu vois, c’est vraiment un équilibre à trouver entre le chaud et le froid.
Média, dans l’actu, un mot sur les équipes, qui dit média, dit journaliste.
Il y a aussi des intervenants qui sont des spécialistes, des gens qui agissent sur le terrain de la transition.
Comment sont constituées les équipes et les intervenants, notamment dans les vidéos?
Alors déjà, on est en pleine croissance, puisque on est encore tout jeune.
Donc là, pour le moment, on a deux journalistes vidéo, Maëlys de La Ruelle et Fabien Verso qui, eux, sont permanents.
Je suis en phase de recrutement, donc l’objectif, c’est qu’on fasse grossir cette petite équipe.
On a des freelancers aussi qui nous accompagnent, notamment pour cadrer, monter, écrire des posts.
On est accompagné par des consultants aussi qui nous apportent une aide très précieuse, que ce soit sur la stratégie pour identifier les bonnes personnes avec qui on doit travailler.
Nous collaborons aussi avec soit des créateurs, créatrices de contenu, soit des personnes qui détiennent un savoir, une expérience et que nous allons mettre face à la caméra.
Les personnes que vous voyez actuellement sur les vidéos, il va y avoir trois types d’interventions.
Déjà les journalistes, Maëlys ou Fabien.
Ensuite, des chroniqueurs qui interviennent régulièrement.
On en a cinq à ce jour et des personnes qu’on va chercher au coup par coup en fonction de leurs histoires.
Alors ça c’est Fabien qui l’a remarqué.
Fabien en fait, il a un profil particulier.
C’est d’abord, au-delà d’être un super journaliste, il a un super projet personnel.
En fait, il habite à Paris, mais il a par ailleurs une petite maison, pas très loin de la Loire, et dans laquelle il y a un jardin qu’il est en train de retaper.
Et en fait, il partage des vidéos sur son compte personnel Instagram, où il explique en fait comment ça se passe pour récupérer un jardin qui est en mauvais état, et comment on en fait un bel espace respectueux de l’environnement.
Et c’est vrai qu’on a repris une de ses vidéos pour voir ce que ça donnait.
Et l’idée, c’est de faire converger en fait ces sujets avec les nôtres et de faire régulièrement des collabs’.
Du jardinage aux modèles économiques qu’il faut transformer, en parlant du climat, de la météo.
Le média est né au printemps 2024, mais il a un calendrier de montée en puissance, tu le disais.
On a parlé des vidéos courtes, mais d’autres formats arrivent bientôt.
Est-ce que tu peux nous en dire un peu plus?
Il y a notamment l’arrivée prochaine de newsletters, l’écrit qui arrive.
Oui, exactement.
Pour l’instant, très concrètement, on est présent sur Instagram, TikTok et YouTube en version short.
Au mois de juin, il va y avoir l’arrivée de newsletters, ça, c’est des newsletters gratuites.
Et ensuite, si je fais vraiment tout le calendrier, à partir de septembre, on va avoir une offre un peu plus longue sur YouTube.
Les premiers formats vont faire 12-15 minutes environ et le dernier, on va dire, le dernier wagon du train, ce sera des newsletters payantes.
Et là, ces newsletters payantes, en fait, je ne peux pas en dire beaucoup plus, mais on est en négociation exclusive pour acheter un acteur du marché qui fait de la newsletter B2B sur le secteur de l’énergie.
Et l’objectif, c’est de racheter cet acteur et de lui donner les moyens de grandir.
Et la newsletter gratuite qui arrivera au mois de juin va être un intermédiaire.
En gros, ce qu’il faut comprendre, c’est qu’on a conçu ce média sur le système d’un entonnoir.
Tout en haut, vous avez les vidéos courtes longues qui font un maximum de richesse, mais qui retiennent l’attention assez peu longtemps.
Et plus vous allez descendre dans l’entonnoir, plus on va s’adresser à une audience qualifiée qui va rester plus longtemps sur nos contenus pour aboutir à un des contenus payants.
Donc tout en haut, vous avez les vidéos courtes sur les plateformes verticales.
Deuxième échelon, on va avoir les vidéos longues sur YouTube.
Ensuite, la newsletter gratuite.
Et on passe au dernier échelon qui est la newsletter payante.
Et là qui est du B2B.
Alors tu utilises le mode d’entonnoir.
Je n’ai jamais noté sur mon papier le terme de poupées russes.
Je le disais en introduction, le modèle 2050Now est original.
Il est diffusé sur différents canaux gratuits, payants, différentes plateformes.
Parlons un peu plus de l’offre payante, à qui s’adressera-t-elle ?
Parce que j’ai entendu prononcer le mot de B2B, business to business.
Est-ce que vous ciblez un public différent du grand public pour les newsletters payantes?
Là pour le coup, en fait, c’est une newsletter qui existe déjà et donc qui a déjà son public.
C’est aussi pour ça qu’on l’achète.
C’est au-delà du contenu, c’est aussi pour son portefeuille de client.
Et donc ce qui nous permet de partir sur une base solide.
Et là pour le coup, cette newsletter s’adresse à des salariés qui travaillent dans le secteur de l’énergie et qui ont besoin d’informations très spécifiques et notamment juridiques sur toutes les évolutions liées à ces marchés.
Et donc notre objectif, c’est de développer les verticales de cette newsletter, c’est-à-dire de développer les informations, notamment juridiques, autour de chaque énergie.
Alors, je le redis quand tu dis nous, c’est ton média, mais c’est aussi le groupe Les Echos-Le Parisien.
Le dernier élément de cette poupée russe, c’est que 2050Now est adossé à un centre de compétence, un lieu physique qui s’appelle La Maison 2050.
Son but est de collaborer avec les entreprises, de les aider à placer le vivant, l’humain et la nature au cœur de leurs stratégies.
Il y a six entreprises partenaires de cette maison.
Il s’agit de Bouygues, de BNP Paribas, d’Engie, de SNCF Voyageurs, de Veolia et de ta maison mère, l’entreprise et le groupe LVMH.
Peux-tu nous parler un peu de l’articulation entre cette maison, ce centre de connaissance et Le Média 2050Now?
En fait, si tu veux en gros 2050Now, c’est un écosystème et tu as deux pieds.
Un pied média, c’est celui pour lequel je bosse, et tu as le pied qui est celui de la maison.
La maison, c’est tout simplement l’adaptation d’une entreprise qui existe déjà depuis 17 ans, qui s’appelle NetExplo.
NetExplo, ça a été racheté par le groupe LVMH en 2017.
C’est une entreprise qui a connu un très, très fort succès, qui a été créée par Thierry Happe et qui a fait de l’accompagnement pour les entreprises pour la transformation digitale.
Et en fait, avec le Covid, la transformation digitale des entreprises s’est fortement accélérée.
Et si tu veux, il y a eu une synchronicité entre le besoin de faire évoluer NetExplo et Vincent Giret, qui est le directeur éditorial de 2050Now, qui est arrivé avec cette idée et qui l’a proposée à Corinne Mrejen, qui est la DG du groupe Les Echos-Le Parisien.
Donc, en gros, si tu veux, l’objectif, c’est pourquoi est-ce qu’on est tous sur cette même marque, c’est d’avoir d’un côté un média qui va toucher le grand public et de l’autre, la maison, qui est vraiment, elle, très sur les entreprises.
Donc, concrètement, qu’est-ce qu’ils font?
Parce que quand on parle d’accompagnement d’entreprises, ça peut paraître un peu vague.
Il y a un gros centre de perspectives pour repérer les entreprises innovantes et les présenter, présenter aussi des tendances et faire de la formation, notamment.
Alors, ce sont deux entreprises différentes, c’est-à-dire que chacun travaille, j’allais dire, dans son autonomie, notamment les journalistes.
Mais pour nourrir les contenus, ce centre de connaissances-là va attirer votre attention sur des innovations, par exemple?
Voilà, par exemple, quand l’objectif c’est…
Alors, pour le moment, il faut qu’on monte en puissance, justement, sur une collaboration.
Mais je donne un exemple.
Chaque année, NetExplo désormais, La Maison, publie au mois d’avril ce qu’on appelle les Global Trends.
Donc, ils scannent des milliers d’entreprises innovantes à travers le monde pour en retenir 100, qui figurent dans un livre, qui est donc donné aux clients de La Maison.
C’est ce qui en fait aussi le cœur de son business model.
Et 10 entreprises sont présentées lors d’une conférence qui a eu lieu cette année, fin avril, à la station F.
Et c’est Sylvain Louradour qui s’en occupe.
Et nous, on a fait une vidéo sur une de ces entreprises innovantes qui s’appelle Mycocycle et qui est laissée à un modèle hyper original.
En fait, il dresse, si on peut dire, des champignons pour digérer nos déchets les plus toxiques.
Et ces déchets, en fait, sont digérés par des champignons et peuvent ensuite être réutilisés dans le BTP.
Voilà, donc si tu veux, c’est aussi, on va s’appuyer sur la maison pour valoriser des entreprises qui innovent en faveur de la transition écologique.
Raconter donc la transition à l’échelle humaine.
Montrer aussi comment s’adapter et éclairer les enjeux.
Comme tu nous l’expliquais, c’est donc 2050Now et c’est à retrouver sur toutes les réseaux sociaux, en particulier, tu le disais, TikTok, Instagram, YouTube et LinkedIn.
À l’écrit, on peut déjà s’inscrire à la newsletter, selon la date à laquelle vous écoutez cet épisode.
La première apparition est en juin 2024.
Avec tous les liens dans la description de cet épisode.
Aude Baron, rédactrice en chef, on souhaite bon vent à ton nouveau média.
Merci beaucoup Simon, merci de ton invitation.
Voilà, c’est la fin de cet épisode.
Si vous l’avez aimé, notez-le, partagez-le et parlez-en autour de vous.
Vous pouvez aussi nous retrouver sur notre site Internet csoluble.media
À bientôt.
POUR ALLER PLUS LOIN
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Voir aussi le site de 2050 La Maison .
TIMECODES
00:00 Introduction
01:29 Le parcours d’Aude Baron
03:12 2050Now, le média digital est distribué sur les réseaux sociaux
04:02 Objectif : accompagner les gens dans leur transformation écologique
05:55 Le public cible appartient à “la classe écologique”
08:38 Un média dans l’actu
09:59 Les équipes de journalistes et intervenants
12:23 Après la vidéo, l’arrivée de newsletters gratuites et payantes
15:06 2050, le média est adossé à un centre de compétences (La Maison 2050 anciennement Netexplo)
18:50 Merci à Aude Baron et longue vie à ce nouveau média !
Fin
Propos recueillis par Simon Icard.
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