L’endométriose, cette maladie souvent invalidante, plonge de nombreuses femmes dans une errance diagnostique de plusieurs années. Mais une lueur d’espoir émerge avec l’Endotest, un test salivaire innovant. Découvrez dans ce questions-réponses, tiré d’un épisode de Soluble(s), comment Yahya El Mir, fondateur de la startup Ziwig, transforme la prise en charge de cette maladie et ce que cela signifie concrètement pour les patientes.
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Transcription (Automatisée)
– Bienvenue dans un nouvel épisode de Soluble(s). Aujourd’hui, je m’intéresse à un sujet qui touche beaucoup plus de monde qu’on ne le croit. Je veux parler de l’endométriose, une maladie gynécologique qui touche 2 millions de femmes en France. Problème, elle est encore trop souvent diagnostiquée très tardivement. Mais il y a du nouveau. Un test salivaire qui pourrait tout changer. Une expérimentation est en cours à travers la France.
>> Lire l’article source : L’Endotest, un test salivaire pour réduire l’errance diagnostique de l’endométriose
– Bonjour Yahya El Mir.
– Bonjour.
– Tu es un chimiste de formation et un entrepreneur innovant dans le secteur de la santé. Tu as fondé une startup qui conjugue biologie médicale et technologie.
Ta société est basée en France, à Lyon. Elle est spécialisée dans l’analyse de l’ARN salivaire et l’intelligence artificielle. Alors dans cet épisode, on va parler de l’endométriose et plus particulièrement de l’Endotest qui vise donc à réduire drastiquement le délai de prise en charge de la maladie.
Car il faut dire, en effet, que ce délai est long, trop long et constitue ce que l’on appelle une errance médicale, une errance diagnostique qui dure sept ans en moyenne. Tu nous diras pourquoi et comment tu as voulu innover en faisant passer ce délai à dix jours d’attente. On va tout savoir de ce nouvel outil au service des patientes. Un outil que l’assurance maladie prend en charge depuis février. Ça concerne 25 000 femmes. C’est dans le cadre du forfait innovation en France.
Mais d’abord, on veut tout savoir sur toi, sur ton parcours. Qu’est-Ce qui t’a conduit à t’investir sur le sujet de la santé des femmes ?
Yahya El Mir, la science et la technologie au service de la santé des femmes
– Tout d’abord, je suis passionné de sciences et technologie depuis tout petit, depuis depuis l’âge de 14 ans. J’avais envie de faire ça. J’avais envie de faire de la science et de la technologie et que ce soit utile, aider les gens. Et c’est ce que je fais aujourd’hui. Et le domaine de la santé des femmes, c’est un domaine qui manque énormément d’innovation, dans lequel les besoins sont énormes et c’est un terrain d’expression fabuleux.
– Alors je le disais en introduction, 2 millions de femmes sont touchées par l’endométriose. On commence à en entendre beaucoup plus parler. Mais voyons cela concrètement. peux-tu nous dire de quoi parle-t-on quand on évoque cette maladie ? C’est une maladie inflammatoire qui touche exclusivement les femmes.
L’endométriose : une maladie fréquente, douloureuse et handicapante
– Oui. C’est une maladie qui touche les femmes, environ 200 millions de femmes dans le monde. Qui est handicapante dans 90 % des cas. Tous les aspects de la vie, la vie sociale, la vie professionnelle, la vie familiale, la vie intime sont handicapés.
Et c’est une maladie qui se caractérise par deux deux symptômes majeurs. Le premier, c’est les douleurs. Les douleurs peuvent être extrêmes, dans 53 % des cas. Les femmes se retrouvent aux urgences dans de multiples cas. Et le deuxième symptôme, qui n’est pas visible, mais qui est encore plus important pour les femmes, c’est l’infertilité. C’est la première cause d’infertilité féminine.
– Alors, tu le disais, cette maladie peut entraîner des douleurs aiguës dans le bassin, dans certains cas, des difficultés à tomber enceinte. Il n’y a pas de traitement curatif connu.
Ces douleurs peuvent retentir partout dans la vie sociale, au-delà du corps, dans la vie scolaire, la vie professionnelle, ainsi que peser, tu le disais, sur leur vie intime. On dit que c’est une maladie assez fréquente puisqu’elle concerne une femme sur dix.
Mais à quel âge l’endométriose peut-elle commencer ? Est-ce qu’elle peut toucher n’importe qui ?
– Elle commence de plus en plus jeune. C’est quelque chose qu’on constate. Il y a une évolution de l’âge des premières règles et cette maladie commence avec les premières règles. Alors parfois, les premières règles, ça peut être à 10 ans, ça peut être à 11 ans, ça peut être à 13 ou 14 ans. Ce qu’on constate, c’est que les premières règles, aujourd’hui dans notre monde moderne, arrivent de plus en plus tôt et les jeunes filles commencent à ressentir les symptômes de la maladie à ce moment-là.
– Il n’y a pas de traitement curatif. Alors, il y a évidemment des traitements qui peuvent aider à gérer la maladie, les symptômes. Et on sait que plus l’endométriose est prise en charge précocement, meilleures sont les chances de ralentir ou de stopper l’évolution naturelle de la maladie. Je voudrais donc en venir à cette question du temps. C’est un peu une course contre-la-montre que tu as voulu relever.
On va parler de l’errance médicale, de l’errance diagnostique. Ce chiffre qui fait peur d’abord, c’est donc ce fameux délai moyen de 7 ans pour poser un diagnostic.
Pourquoi est-ce si long ? Qu’est-ce qui coince ?
L’errance diagnostique : 7 ans en moyenne pour poser un nom sur la douleur
– C’est 7 ans en France en moyenne, mais dans certains pays, c’est jusqu’à 12 ans et pour certaines patientes ça peut être 20 ans. Donc ça dépend. C’est une moyenne, dans certains cas, les patientes attendent 40 ans pour savoir que c’est l’endométriose qui a handicapé, bousillé toute leur vie. Donc cette errance diagnostique est longue parce que c’est une maladie très difficile à diagnostiquer. Les symptômes sont les mêmes que d’autres maladies et la forme la plus répandue, c’est une forme qu’on appelle la forme superficielle. La forme péritonéale n’est pas visible à l’imagerie. Donc le seul moyen de la diagnostiquer aujourd’hui avec un niveau de certitude élevé, c’est la chirurgie diagnostique. Et bien sûr, Endotest, Endostest est le moyen moderne aujourd’hui d’avoir un diagnostic de certitude de manière beaucoup plus simple et non intrusive pour la patiente.
– Oui parce que, on va détailler tout ça. Actuellement, le parcours diagnostic c’est l’imagerie. Tu le disais donc de l’échographie, l’IRM ?
– Le parcours diagnostic classique, c’est que la patiente va voir son médecin qui dans certains cas ne trouve pas la maladie. Et puis elle va en voir un autre, et puis un autre et puis un autre. En moyenne, les patientes voient 10 médecins avant que le diagnostic soit posé. Pendant ce temps-là, le temps passe, la maladie grandit et effectivement, quand elle a grandi et qu’elle est suffisamment importante, on finit par l’avoir à l’IRM. On finit par la détecter et donc c’est ce qui explique cette longue errance.
– On va voir à quel moment du parcours de soin peut intervenir le test salivaire. L’Endotest, depuis février 2025, est remboursé par la Sécurité sociale après que la Haute Autorité de santé (HAS) a reconnu son intérêt et a émis un avis favorable pour une prise en charge “précoce et dérogatoire”. C’est du langage un peu administratif. J’ai résumé cela en disant expérimentation, c’est-à-dire que 25 000 femmes peuvent être concernées par le remboursement de ce test. On va tout voir en détail concrètement.
Endotest : la révolution du diagnostic par un simple test salivaire
– D’abord, pour “expérimentation”, c’est pas tout à fait le bon terme puisque le test a été validé, sa performance est reconnue et il est pris en charge pour 25 000 patientes.
Ce que souhaite savoir la HAS, c’est est-ce qu’il modifie le parcours de soins de manière suffisante pour justifier un remboursement et est-ce qu’il remplace la chirurgie de manière suffisamment importante pour générer des économies en vue de sa généralisation à l’ensemble des patientes qui en ont besoin ?
Donc ce sont des données complémentaires qu’on récolte, mais c’est très important pour la patiente de le savoir qu’aujourd’hui c’est une prise en charge. Donc une patiente qui a un problème aujourd’hui de diagnostic de l’endométriose peut aller dans un des 100 centres pour avoir accès à l’Endotest, être prise en charge. C’est ça la philosophie initiale du forfait innovation.
– Expérimentation, merci de la précision sur le plan de la prise en charge pour la généraliser au-delà de ce délai en cours. Alors concrètement, comment fonctionne le dispositif ?
Le point de départ, c’est quelques gouttes de salive.
– Le point de départ, c’est effectivement une découverte scientifique majeure qui s’appelle les micro-ARN, qui a fait l’objet du prix Nobel de médecine de l’année dernière et qui est porteuse d’information sur la santé des personnes, que ce soit une femme ou un homme. Il se trouve que ces micro-ARN, on les trouve dans les différents fluides humains, y compris la salive. Et on s’est intéressé à la salive parce que c’est extrêmement simple à prélever et à extraire. Et donc on va rechercher dans ces micro-ARN une information spécifique à l’endométriose pour voir si la patiente a ou pas l’endométriose en fonction de cette information-là.
– Micro-ARN, on parle de biomarqueurs. Est-ce que tu peux détailler un peu plus ce que ça veut dire ?
– Ce sont des molécules de biologie humaine. Ce sont des toutes petites molécules qu’on arrive aujourd’hui à mesurer et à détecter avec des technologies modernes et qui sont assez récentes dans l’histoire de la science. Ça fait…
Les recherches se poursuivent sur ces molécules-là, et ces molécules jouent un rôle dans la façon dont nos gènes vont s’adapter à l’environnement, dans l’expression des gènes et donc vont nous renseigner sur l’endométriose, mais également sur d’autres pathologies potentielles.
On travaille actuellement bien sûr sur l’endométriose, mais également sur des cancers, sur la maladie de Charcot. C’est une technologie, c’est une science qui peut être utilisée pour de multiples pathologies.
– Et dans cette science, il y a aussi le recours à l’intelligence artificielle. Est-ce que tu peux nous détailler comment ça fonctionne ? Alors, sans détailler de grands secrets, mais on est curieux de savoir.
– Oui, ces biomarqueurs que tu as cités sont nombreux et c’est pour ça qu’ils sont intéressants, ils portent beaucoup d’informations. Il y en a environ 2600 différents chez chaque personne et pour étudier et analyser une combinaison aussi élevée.
On ne peut pas utiliser les outils classiques de statistiques normales. On est obligé, de faire, d’avoir recours à l’intelligence artificielle. Et c’est là où l’intelligence artificielle délivre toute sa puissance en nous permettant, dans cette combinatoire élevée, de détecter ceux qui vont nous renseigner sur la présence ou pas de la maladie.
– C’est en ce sens que je disais tout à l’heure que ta société et ton dispositif combinent la biologie médicale et la technologie. Côté fiabilité, on est à 95 % de sensibilité, 94 % de spécificité. Alors c’est important.
Comment l’Endotest est-il reçu par le milieu hospitalier, le corps médical avec qui tu traites ? Quels sont les premiers retours ?
Fiabilité et accès : comment bénéficier de l’Endotest en France ?
– L’Endotest, c’est l’outil le plus performant aujourd’hui qui existe sur le marché. Il n’y a rien d’équivalent en termes de performance diagnostique et son niveau de performance diagnostique permet d’offrir à la patiente une certitude diagnostique. Et ça, c’est important. C’est important que la patiente, quand elle reçoit un diagnostic, qu’elle y croit et qu’elle s’arrête de chercher pour arrêter l’errance diagnostique. Les médecins le reçoivent aujourd’hui comme un outil complémentaire, un outil complémentaire aux outils qu’ils ont. aujourd’hui, complémentaire à l’imagerie. On a toujours besoin d’imagerie pour cartographier la maladie, pour identifier d’autres, d’autres maladies. Donc ce sont des outils complémentaires. Il est complémentaire également au chirurgien puisqu’il va lui offrir une information complémentaire qui va lui permettre de faire des choix beaucoup plus précis quant à son intervention. Est-ce qu’il doit intervenir maintenant, est-ce qu’il doit intervenir un peu plus tard ? Le fait d’avoir cette information est nécessaire. Et puis bien sûr, il est essentiel. Il est critique pour la patiente parce que la patiente, et on l’oublie trop souvent, a besoin, a besoin d’avoir un diagnostic de certitude, a besoin de savoir de quoi elle souffre.
– Les patientes sont au cœur du sujet. Pour les auditrices françaises qui se reconnaissent dans ce qui a été dit.
Comment peuvent-elles accéder à l’Endotest aujourd’hui, à la date de cet épisode ? On est début juin 2025. Comment faire ? Est-ce qu’il y a des critères pour en bénéficier ?
– Alors la bonne nouvelle en France et on a travaillé dur pour ça, c’est que l’Endotest est pris en charge par la Sécurité sociale, il est remboursé par la Sécurité sociale. Alors, il y a certaines conditions. Pour en bénéficier, il faut avoir les symptômes évocateurs d’endométriose, une prescription par son médecin ou dans un des centres qui est référencé. Aujourd’hui, il y a une centaine de centres en France qui peuvent offrir des tests pris en charge. On passe une imagerie d’abord, une échographie et une IRM et ensuite, on accède à un an de test pour pouvoir avoir un diagnostic.
Mais il y a quand même 100 hôpitaux en France qui sont aujourd’hui habilités par le ministère de la Santé à proposer à leurs patientes, l’Endotest est totalement pris en charge. Cela veut dire que cela ne coûte absolument rien à la patiente.
– Les patientes majeures, je crois, en France.
– Absolument, Absolument. La version actuelle de test répond à la tranche d’âge des 18-43 ans. Donc parmi les critères, effectivement, il faut avoir entre 18 et 43 ans et nous sommes en train de faire une validation sur les moins de 18 ans. Parce qu’évidemment, plus on prend le diagnostic tôt, plus on pose le diagnostic tôt et mieux c’est pour la patiente et mieux, on peut anticiper l’évolution de la maladie.
– Alors, je mets dans la description de l’épisode les liens utiles évidemment pour retrouver ces 100 lieux en France, ça correspond à la quasi-totalité des départements français si j’ai bien lu. Même si je ne les ai pas tous lu en détail. Projetons-nous un peu plus dans le temps. Depuis 2022, la France s’est dotée d’une stratégie nationale mobilisant l’ensemble des acteurs de la lutte contre l’endométriose et l’infertilité.
L’État a dégagé un budget de 30 millions d’euros sur cinq ans. On est à mi-chemin. L’Endotest s’inscrit dans cette démarche. Quelles sont les prochaines étapes concernant ce test en France ?
Au-delà du diagnostic : un enjeu de société et une stratégie nationale
– Alors, il faut quand même louer le fait que la France est aujourd’hui à la pointe de la lutte contre l’endométriose avec sa stratégie nationale, avec cette innovation qui est en deux tests, avec des efforts répétés du ministère de la Santé et de la ministre de la Santé.
Donc, il y a une volonté de résoudre ce problème sociétal parce que ce n’est pas simplement un problème de santé, c’est un problème de société. Il y a des jeunes filles qui sont handicapées dans leur vie au plus jeune âge, dans leur scolarité, dans leur vie professionnelle et ce n’est pas acceptable de laisser des situations comme ça. Et cette situation est bien plus grave dans certains autres pays.
La France est en train de devenir un des pays, un des pays les plus avancés dans la lutte contre l’endométriose. C’est une maladie qu’on ne connaît pas suffisamment aujourd’hui. Tu l’as cité, il n’y a pas de traitement curatif, il n’y a pas de traitement curatif parce qu’on n’a pas assez de connaissances de la maladie.
Les technologies sur lesquelles on travaille ces technologies-là offrent un niveau de connaissance beaucoup plus élevé. Et ce niveau de connaissance, c’est le futur. C’est là-dessus qu’on travaille, ça permettra à l’avenir, d’une part, d’avoir une approche individualisée pour chacune des patientes. La maladie évolue de manière très différente d’une patiente à l’autre. Aujourd’hui, on ne sait pas pourquoi, on ne sait pas l’anticiper. On travaille sur une classification moléculaire qui permettra d’identifier cela et également pour avoir les informations qui permettent d’identifier les thérapeutiques qui pourraient fonctionner dans le cadre de cette maladie. Donc les enjeux sont énormes et les technologies pour le faire sont aujourd’hui disponibles.
– On s’est beaucoup concentré sur la France, mais je signale que l’Endotest a une dimension internationale. Quel est l’état des lieux que tu peux nous faire sur cette dimension géographique ?
– Effectivement, on a parlé de la France parce que c’est le pays de l’Endotest. C’est le pays de Ziwig, mais c’est un problème mondial. Aujourd’hui, l’Endotest est disponible dans 22 pays. Au dernier Congrès mondial de l’endométriose à Sydney, dans lequel nous étions présents la semaine dernière, on a vu une attente très très forte. Et aujourd’hui, on est en train de devenir leader mondial du diagnostic de l’endométriose parce que c’est la solution la plus avancée à l’échelle mondiale. On est en train de préparer le déploiement dans d’autres régions du monde. Il y a plusieurs pays qui ont fait le remboursement. C’est un problème que de plus en plus de gouvernements prennent en considération dans leur politique et c’est une très bonne nouvelle pour les femmes et pour les patientes.
– Alors tu l’évoquais tout à l’heure, brièvement, ton entreprise travaille spécifiquement sur la santé des femmes par le prisme des tests salivaires. Sur quels autres sujets que l’endométriose vous vous penchez ? Est-ce qu’on peut aller un peu plus loin que ce que tu disais tout à l’heure ? Quelles sont les maladies et les sur lesquelles vous travaillez ?
Le futur de la recherche : vers un dépistage précoce d’autres maladies ?
– On vient de terminer les inclusions pour une étude du cancer de l’ovaire.
C’est un cancer qui est aujourd’hui diagnostiqué tardivement. Le fait qu’il soit diagnostiqué tardivement fait que les chances de survie à cinq ans sont de 45 %. Parce que très souvent, on diagnostique les patientes quand elles sont au stade 3 et 4.
On sait que si on arrivait les diagnostiquer beaucoup plus tôt, c’est-à-dire au stade 1, les chances de survie passeraient de 45 à plus de 90 %. Donc, il y a un enjeu très important, c’est une maladie également dans laquelle il y a beaucoup de récidives. Les récidives sont à 75 %. Et si on pouvait anticiper le retour de la maladie avec un simple test salivaire. Et bien, ça serait un progrès considérable. Donc on vient de terminer les inclusions, on va faire les analyses cette année et j’espère qu’on pourra faire des annonces très positives, soit cette année, soit l’année prochaine.
– De la recherche jusqu’au test concret, Yahya El Mir, fondateur de la biotech Ziwig. Merci pour tes éclairages. Pour celles et ceux qui veulent en savoir plus, je le disais, vous retrouvez tous les liens utiles dans la description de cet épisode. Yahya, merci d’avoir été avec nous dans Soluble(s). Merci pour tes éclairages.
– Merci Simon.
– Merci.
Voilà, c’est la fin de cet épisode. Si vous l’avez aimé, notez-le, partagez-le et parlez-en autour de vous. Vous pouvez aussi nous retrouver sur notre site internet, csoluble.media.
À bientôt !
POUR ALLER PLUS LOIN
- Où faire le test salivaire ? La liste des 100 centres en France participant au dispositif Endotest (au 06/02/2025) https://sante.gouv.fr/IMG/pdf/listedes100centres.pdf
- Le site de Ziwig : https://ziwig.com/ziwig-endotest/
Écouter aussi : EndoLives, un podcast de témoignages qui “ met en valeur des parcours inspirants de patientes ayant de l’endométriose ou des douleurs pelviennes intenses”. (Production Sarah Gaubert – Largerthanlifeproject) :https://podcast.ausha.co/endolives-le-podcast
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